Éric-Emmanuel Schmitt n’est pas seul : l’essayiste Jean Duchesne a découvert un autre philosophe qui s’est laissé provoquer par Jérusalem et la Terre sainte, non pour découvrir la foi, mas pour essayer de s’en rende digne.

La publication au printemps dernier (chez Albin Michel) du Défi de Jérusalem d’Éric-Emmanuel Schmitt (né en 1960) a été généralement bien accueillie, aussi bien par le public que dans les médias : un auteur déjà célèbre (Le Visiteur, 1993 ; Oscar et la Dame rose, 2002…), grandi athée, normalien, agrégé de philosophie, qui découvre à 28 ans Dieu dans le désert (et ne le raconte qu’en 2015 dans La Nuit de feu), puis l’Évangile et finalement, dans ce livre, la messe et le catholicisme, qu’il sait rendre crédible, à la fois ouvert, cohérent et profond, sans s’égarer dans les débats et affaires de l’actualité religieuse.

Suite de l’article sur Aleteia.