Israël et la bande de Gaza se trouvent depuis samedi 7 octobre au cœur d’un nouvel embrasement meurtrier. Face à ce déferlement de violence, les catholiques sont appelés à prier, inlassablement, pour la paix. Mais pas seulement.

À l’engrenage de la guerre, la mort et la violence, peut-on opposer celui de la paix, la vie et la prière ? L’offensive du Hamas samedi 7 octobre contre Israël a ouvert un nouveau chapitre sanglant dans le conflit latent opposant Israël à la Palestine. Alors que le bilan humain s’alourdit d’heure en heure des deux côtés, les prochains jours s’annoncent particulièrement sombres. À la voix du pape François qui a appelé dès dimanche à la paix se sont unies celles de nombreux évêques, prêtres et cardinaux. Ce mardi 10 octobre, les responsables des principaux cultes en France ont à leur tour fait part de leur « effroi » après l’attaque du Hamas contre Israël, dans un communiqué où ils appellent à l' »apaisement » et à « rejeter fermement tout antisémitisme » et « tout racisme ». Appelant à la prière « pour le peuple israélien et pour le peuple palestinien qui se trouvent aujourd’hui pris dans une logique de guerre », ils invitent aussi « les responsables politiques de notre pays à travailler pour une action concertée de la communauté internationale ».

Suite de l'article sur Aleteia.