Prêtre du diocèse de Bordeaux, coopérateur de la paroisse Saint-Joseph-des-Jalles, le père Clément Barré commente l’évangile du IIe dimanche de Pâques, dimanche de la Divine Miséricorde (Jn 20, 19-31). Quand Thomas s’approche des blessures de Jésus, c’est de la miséricorde qu’il s’approche, par laquelle le mystère profond du cœur de Dieu nous est révélé.

Si depuis toujours l’Évangile du deuxième dimanche de Pâques est le récit de l’apparition à l’apôtre Thomas, on peut s’étonner que ce jour ait été choisi par saint Jean Paul II pour célébrer la fête de la Divine Miséricorde. Nos frères orientaux ont fait un choix bien plus pragmatique en nommant ce jour le « dimanche de Thomas ». Cela a le mérite de la clarté, tout en mettant en lumière un des aspects essentiels du texte de l’Évangile : la foi de Thomas et des autres disciples, c’est-à-dire, la réponse de l’âme croyante confrontée au mystère de la résurrection.

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