Trois conseils de saint Dominique pour rester debout quand l’Église nous déçoit
Aux chrétiens déboussolés par les scandales qui se succèdent dans l’Église, le frère Jacques-Benoît Rauscher, dominicain du couvent de Lyon, propose dans son livre "Quand l’Église s’effondre" (Cerf) un chemin inspiré de la vie de saint Dominique pour garder l’espérance.
Je rencontre beaucoup de personnes ces derniers temps qui sont déboussolées par les scandales qui se répètent dans l’Église. Ces personnes ne sont pas des victimes directes de méfaits commis par des prêtres ou des religieux ; elles ne sont pas non plus coupables de ce qui s’est passé. Mais leur foi est ébranlée par ces événements. Et il y a de quoi ! J’avoue que je n’ai pas toujours les mots pour les aider. J’avoue que, moi non plus, je ne sors pas indemne des sinistres actualités qui mettent en avant la perversité de personnes qui avaient donné leur vie à l’Église.
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Les fruits insoupçonnés du pèlerinage de Chartres
La messe de clôture du pèlerinage de Chartres, le lundi de Pentecôte, ne marque pas pour autant la fin du "pélé". Ce dernier continue à porter du fruit au-delà des frontières, à travers les pèlerinages qu’il inspire à l'étranger, mais aussi dans le cœur de milliers de pèlerins, touchés voire bouleversés par ces rencontres avec soi-même, avec d’autres, et avec le Seigneur.
En ce week-end de Pentecôte, 16.000 pèlerins marchent de Paris à Chartres dans le cadre du pèlerinage annuel organisé par Notre-Dame de Chrétienté. Une affluence record cette année qui a contraint les organisateurs à clôturer les inscriptions quelques jours avant le départ. Si l’association Notre-Dame de Chrétienté a fêté ses 40 ans l’année dernière, la tradition des pèlerinages vers Chartres ne date pas d’hier. Le rayonnement de Notre-Dame de Chartres remonte à l’an 876, date à laquelle le roi Charles le Chauve, petit-fils de Charlemagne, offre à la cathédrale l’une des plus précieuses reliques mariales : le voile de la Vierge, exposé désormais dans une chapelle du déambulatoire. Le pèlerinage de Notre-Dame de Chrétienté s’inscrit dans cette longue tradition de dévotion mariale, et continue à porter des fruits spirituels insoupçonnés, en France comme à l’étranger.
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En ce temps de Pentecôte, entrons dans le rêve de Dieu
Depuis l’origine, le génie de l’homme rêve devant les merveilles infinies de la Création. En rêvant ainsi, observe le père Benoist de Sinety, curé de la paroisse Saint-Eubert de Lille, l’homme partage le rêve de Dieu, un rêve de création toujours renouvelée dans l’amour incarné.
Des pêcheurs d’éponges qui naviguent, au printemps 1900, le long de la côte d’Anticythère, une île grecque au sud du Péloponnèse. L’un des plongeurs, brandissant une main de bronze pêchée sur place, dira qu’il a vu des corps nus et des chevaux au fond de l’eau. Le monde découvrira qu’il s’agit en fait d’une épave romaine coulée en 86 avant Jésus Christ, à l’époque où l’Empire dévastait les dernières cités grecques et les pillait de leurs trésors. L’embarcation faisait route vers la Ville avec, à son bord, quelques chefs d’œuvre comme cet Éphèbe d’Anticythère attribué à Lysippe et conservé au Musée national archéologique d’Athènes.
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Connaissez-vous les différents noms de l’Esprit saint ?
Paraclet, huile de joie, Esprit de la grâce... Il existe plusieurs noms pour décrire le Saint-Esprit et son action.
Saint-Esprit, c’est sous ce terme qu’est désignée la troisième personne de la Trinité. Dans l’Ancien Testament, le mot hébreu qui désigne l’Esprit est « ruah », un terme qui signifie souffle. L’Esprit saint est aussi connu sous de nombreux autres noms : Esprit du Père, Esprit du créateur, Saint-Esprit de Dieu… Sans oublier, les noms des sept dons de l’Esprit saint formalisés par saint Thomas d’Aquin, comme Esprit de sagesse ou de force. Mais il existent d’autres noms peu connus pour désigner le Saint-Esprit. En voici une petite liste :
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Ecoutez le curé de Cucugnan, il va vous convaincre de vous confesser
Vous éprouvez des difficultés avec la confession ? Le "Curé de Cucugnan", incarné par l'acteur Fernand Sardou dans le film de Marcel Pagnol, vous fera peut-être changer d'avis...
« Il y en a qui disent : “J’ai trop fait de mal, le Bon Dieu ne peut pas me pardonner.” C’est un gros blasphème. C’est mettre une borne à la miséricorde de Dieu, et Elle n’en a point : Elle est infinie. » Ainsi parlait le saint Curé d’Ars, celui qui pouvait confesser des heures durant au point d’en oublier de se nourrir et de dormir. Si la miséricorde de Dieu est bien infinie, nombreux sont ceux qui peinent à en faire l’expérience à travers la confession, qui pourrait bien être le plus mal-aimé des sacrements. À tort ! Nous crie presque Fernand Sardou, alias le curé de Cucugnan, dans le film de Marcel Pagnol. Réalisé en 1968 et intégralement en noir et blanc, il est le résultat de l’adaptation au cinéma de l’œuvre d’Alphonse Daudet, « Lettres de mon moulin ».
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Notre-Dame : les premières travées de la charpente montées à blanc
Une nouvelle étape de franchie pour Notre-Dame. Jeudi 25 mai, les premières travées de sa belle charpente en chêne massif ont été totalement montées à blanc. Il s’agit d’un ouvrage exceptionnel, d’une longueur de 32 mètres, de 14 mètres de largeur et de 10 mètres de hauteur. Les charpentiers mobilisés ont utilisé, au cours de ce chantier, en grande partie des outils manuels et ont suivi le dessin initial de cet ouvrage, basé sur un modèle médiéval.
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Vous avez dit « décivilisation » ?
La décivilisation est à nos portes, mais à qui la faute ? De toutes les violences dont se plaint le président de la République, c’est bien celle de la morale libertaire de la déconstruction qui est responsable, estime l’écrivain Xavier Patier.
Illibéralisme, déconstruction, ensauvagement, incivilités, disruption, et maintenant « décivilisation »: on peut dire qu’à défaut d’avoir apporté le bonheur aux Français, Emmanuel Macron aura inlassablement contribué à enrichir leur vocabulaire. Lors du conseil des ministres du 24 mai, il a déclaré, selon la presse : « Depuis un certain temps et dans l’ensemble des pays, il y a une forme décivilisation. »
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Quels sont les freins à la venue de l’Esprit saint ?
Pour se préparer à la Pentecôte, célébrée ce dimanche 28 mai, Aleteia a interrogé le père Gaultier de Chaillé pour identifier les possibles freins à l’action de l’Esprit saint dans notre vie. Curé de Villepreux-Les Clayes (Yvelines), il est auteur du livre Les dons de l’Esprit Saint (Mame). Quels sont alors ces grands obstacles qui peuvent empêcher l’action du Saint-Esprit ?
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Ces encombrants martyrs de la Commune
Les martyrs de la Commune sont fêtés pour la première fois par l’Église ce vendredi 26 mai 2023. Leur béatification n’aura pas été un long fleuve tranquille. C’est que les massacrés de 1871, à commencer par l’archevêque de Paris, n’avaient pas que des amis, y compris au sein de l’Église, et qu’il ne fallait pas désespérer Billancourt…
Cinq prêtres martyrs sous la Commune, tués en haine de la foi le 26 mai 1871 lors du massacre de la rue Haxo, ont été béatifiés samedi 22 avril en l’église Saint-Sulpice à Paris. S’ils sont fêtés pour la première fois par l’Église ce vendredi 26 mai, leur béatification n’a pourtant pas été un long fleuve tranquille.
Lorsque, en juillet 1870, Mgr Georges Darboy, archevêque de Paris, prétextant l’entrée en guerre de la France contre la Prusse, quitte hâtivement Rome et une aula conciliaire surchauffée, tant en raison de la canicule qui pèse sur la Ville que des tensions entre partisans et opposants du dogme de l’infaillibilité pontificale, il ne peut deviner qu’il ne lui reste pas un an à vivre. Ni non plus qu’il périra victime des haines révolutionnaires contre l’Église, encore moins que le Vatican lui contestera alors la palme du martyre.
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Le retour de la Syrie dans le concert des nations
Douze ans après en avoir été chassée, la Syrie a réintégré la Ligue arabe, marquant son retour sur la scène diplomatique. Pour la France, estime le géopoliticien Jean-Baptiste Noé, cette victoire de Bachar al-Assad rend nécessaire de réajuster sa diplomatie.
Il y a douze ans, au moment des révoltes en Syrie, de leur répression et du glissement vers la guerre, nombreux étaient les ministres et les diplomates européens à assurer que Bachar al-Assad n’en avait plus que pour quelques semaines de pouvoir. Douze ans après, il est toujours en poste à Damas, tient le pays et opère la réintégration de son pays dans un grand nombre de cénacles diplomatiques.
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Fin de vie : le programme déjà « ficelé » du gouvernement
Ministre déléguée chargée des Professions de santé, Agnès Firmin-Le Bodo a présenté les contours du futur projet de loi sur la fin de vie et "l’aide active à mourir". Si elle met en avant un processus de "co-construction" inédit avec les parlementaires et les soignants, plusieurs groupes et associations dénoncent un projet "déjà ficelé" par le gouvernement.
Les contours de la future loi sur la fin de vie, dont la légalisation de l’aide active à mourir, se précisent. Dans un entretien accordé au JDD publié dimanche 21 mai, Agnès Firmin-Le Bodo, ministre déléguée chargée des Professions de santé chargée de porter le projet de loi sur la fin de vie qui « sera coconstruit d’ici la fin de l’été » selon le souhait d’Emmanuel Macron a partagé son souhait d’assurer « une traçabilité de A à Z ». Car c’est bien elle qui défendra le texte du gouvernement devant les parlementaires et non François Braun, ministre de la Santé. Agnès Firmin-Le Bodo s’était déclaré favorable à titre personnel à l’aide active à mourir tandis que son collègue avait émis des réserves. Le texte portera sur trois thèmes : l’aide active à mourir (suicide assisté et/ou euthanasie), les droits des patients et les soins palliatifs.
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Érythrée : une centaine d’étudiants chrétiens arrêtés lors d’un raid
Plus de cent étudiants érythréens de confession chrétienne ont été arrêtés au cours d'un raid policier début avril. Ils ont été emprisonnés dans une prison réputée pour ses terribles conditions de détention.
103 Érythréens chrétiens, majoritairement étudiants, ont été arrêtés à Asmara, la capitale, lors d’un raid policier au début du mois d’avril, selon l’ONG Release International. Ces derniers se seraient rassemblés pour un temps de prière et auraient enregistré des vidéos destinées aux réseaux sociaux. Ils ont été emmenés à la prison de Mai Serwa, qui détient en son sein plus de 500 prisonniers chrétiens dont la plupart n’ont jamais été jugés. Mai Serwa est tristement connue pour sa surpopulation carcérale et les traitements inhumains infligés aux détenus.
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Cinq étages pour atteindre le Ciel selon sainte Thérèse de Lisieux
Comment atteindre le Ciel ? Pour Thérèse de Lisieux, dont l'Eglise fête ce 29 avril le 100e anniversaire de sa béatification, rien de mieux que de prendre directement l'"ascenseur spirituel." Voici les cinq étages à monter.
Chez Thérèse de Lisieux, tout est finalement un peu à l’envers. Alors que la vision traditionnelle de la sainteté est comparée à l’ascension d’une montagne bien escarpée, la petite Thérèse a eu l’intuition d’atteindre le Ciel d’une manière opposée : au lieu de gravir les marches du « rude escalier de la perfection », elle veut prendre… l’ascenseur. Rien d’étonnant : c’est à son époque que l’ascenseur apparaît comme une invention technologique qui fait rêver tout le monde :
« Je veux chercher le moyen d’aller au Ciel par une petite voie bien droite, bien courte, une petite voie toute nouvelle. Nous sommes dans un siècle d’inventions, maintenant ce n’est plus la peine de gravir les marches d’un escalier, chez les riches un ascenseur le remplace avantageusement. Moi, je voudrais aussi trouver un ascenseur pour m’élever jusqu’à Jésus, car je suis trop petite pour monter le rude escalier de la perfection.
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29 avril 1923, le jour où Thérèse de Lisieux a été béatifiée
C’était il y a cent ans jour pour jour. Le 29 avril 1923, la basilique Saint-Pierre resplendit de la gloire de la petite Thérèse de l’Enfant Jésus, proclamée bienheureuse. L’Église et le monde sont en fête. Récit d’une journée pleine de grâces et de surprises.
Fait assez exceptionnel pour l’époque, il se sera écoulé à peine un quart de siècle entre la mort à Lisieux de sœur Thérèse de l’Enfant Jésus, petite carmélite inconnue, le 30 septembre 1897, et sa béatification, en 1923, alors qu’elle est devenue mondialement célèbre. Préparées, attendues, les cérémonies qui se dérouleront à Saint-Pierre de Rome le 29 avril 1923, marqueront les esprits comme un très grand triomphe, en même temps qu’une célébration du catholicisme français, au terme du long refroidissement entre la IIIe République laïcarde et le Vatican.
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Comment sainte Catherine de Sienne a réformé l’Église
Quand il est difficile d’aimer son Église, quand la réforme dans l’Église paraît impossible, un guide sûr nous est donné avec sainte Catherine de Sienne (1347-1380). En pleine crise, avec une folle liberté de ton et un infini respect, elle s’est employée à sanctifier chacun à sa place, et si elle ose réprimander les clercs dans l’erreur, c’est pour fortifier leur autorité, pas pour diluer leur ministère.
Dans une de ses lettres, sainte Catherine de Sienne écrit : « Oui, nous devons nous passionner pour la sainte Église, par amour de Jésus crucifié » (Lettre à la reine de Hongrie, 145). Voilà qui sonne aujourd’hui comme une provocation ! On veut bien à la rigueur aimer Jésus, d’ailleurs plutôt ressuscité que crucifié — ça fait moins peur —, mais de là à se passionner, à cause de Jésus, pour l’Église qualifiée de sainte, là on ne suit plus. Peut-on vraiment l’aimer cette Église dont la vie est rythmée par les scandales et les abus, dont la médiocrité des clercs est imitée souvent par celle des fidèles, et qui ne sait plus annoncer le Christ ressuscité à un monde qui la rejette violemment ou s’éloigne d’elle dans un silence indifférent ? Jésus, d’accord, l’Église, non ! Pourtant, Catherine l’a perçu plus que quiconque, l’amour de Jésus jusqu’à la Croix exige de se passionner pour l’Église. Car comme elle l’écrit dans une autre lettre : « L’Église, c’est la même chose que le Christ » (Lettre à Nicolas Soderini, 53). Parce que l’Église est à la fois corps mystique du Christ et épouse du Christ selon saint Paul, on ne saurait aimer ni servir le Christ sans aimer et servir l’Église. Pour comprendre cet amour inconditionnel de l’Église chez Catherine, il faut se pencher un peu sur son itinéraire.
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Les anges en verre de Reims, surprenants chefs-d’œuvre de Lalique
Le monde entier connaît l’ange au sourire de la cathédrale de Reims. Et pourtant la capitale champenoise peut se targuer de posséder un autre trésor : les trente anges que René Lalique a créés pour l’église Saint-Nicaise, au cœur de l'étonnante cité-jardin du Chemin Vert. Ils confèrent à ce sanctuaire une atmosphère toute particulière.
À Reims se trouve une église qui, si elle n’accueille évidemment pas autant de visiteurs que la cathédrale, recèle elle aussi de nombreux trésors. Au centre du quartier du Chemin Vert, à la périphérie de la ville, se dresse l’étonnante église Saint-Nicaise. Si l’extérieur de style romano-byzantin est simple, c’est la richesse de ses décors qui la distingue : son aménagement intérieur a été réalisé par quelques-uns des plus grands artistes et décorateurs de l’époque de sa construction, dans les années 1920. Le peintre Maurice Denis a ainsi conçu le baptistère, surmonté de versets bibliques et entouré d’un décor représentant des paysages fluviaux. Roger de Villiers a créé quant à lui la plus grande partie du statuaire dont une remarquable Sainte Famille ainsi que Saint Nicaise, patron et fondateur du diocèse de Reims à qui l’église est consacrée.
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En Hongrie, un pape debout pour la paix
C’est un pape certes fatigué, au souffle parfois court, mais solidement debout qui a entamé la première journée de son voyage en Hongrie, où il est arrivé ce matin, 28 avril. Au cœur de son message adressé à l’Europe : la paix dans l'Ukraine voisine.
Par Anna Kurian, envoyée spécial en Hongrie. De nombreuses questions ont été soulevées autour de la santé de François ces derniers temps. Depuis un an, le pape de 86 ans souffrant du genou se déplace la plupart du temps en fauteuil roulant ou en déambulateur. Une réduction de mobilité qui a demandé des aménagements lors des sorties, des célébrations et des voyages. Et fin mars, François a été hospitalisé trois jours à l’hôpital Gemelli de Rome, officiellement pour une bronchite. Les rumeurs étaient allées bon train autour de cette hospitalisation dont le Saint-Siège avait cherché en un premier temps à relativiser la gravité.
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« La crainte est l’écho en nous d’un immense désir d’amitié avec Dieu »
Dans son dernier essai, “Dieu, après la peur” (Salvator), le philosophe Martin Steffens présente la crainte de Dieu, ce don du Saint-Esprit mal compris. Il explique à Aleteia comment la crainte chrétienne nous libère de la peur en acceptant de nous laisser surprendre dans la rencontre avec Dieu.
Le don du Saint-Esprit de la crainte de Dieu ne signifie pas avoir peur de Dieu. Au contraire, explique Martin Steffens, cette crainte est un désir, le désir d’une rencontre qui nous enseigne que tout nous est donné, que nous ne possédons rien, que rien n’est absolument de notre fait. C’est ainsi que la crainte est l’écho en nous d’un immense désir d’amitié avec Dieu.
Aleteia : Au premier abord, on peut croire que vous allez nous parler de Dieu tel qu’il ne faut plus le craindre, dans la lignée de livres comme Nous irons tous au Paradis, plein d’un optimisme chrétien…
Martin Steffens : Il n’y a pas d’optimisme chrétien, mais seulement une espérance chrétienne. Laquelle, en effet, nous libère de toutes nos peurs, même de la peur de Dieu.
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Béatification des cinq prêtres martyrs de la Commune, une joie palpable
La béatification de cinq prêtres tués sous la Commune le 26 mai 1871 s’est déroulée ce samedi 22 avril à l’église Saint Sulpice, à Paris, présidée par le Cardinal Marcello Semeraro, préfet du dicastère des causes des saints. Une célébration majestueuse, portée par la prière des fidèles et des nombreux prêtres présents, sous le signe de la joie.
Si une béatification est toujours une fête pour le Peuple de Dieu, la joie était d’autant plus palpable en ce samedi 22 avril à Saint Sulpice que cela faisait plusieurs décennies que les ordres auxquels appartenaient les cinq prêtres tués sous la Commune attendaient la reconnaissance de leur martyre. Environ 2.500 personnes se sont rassemblées dans la plus grande église de Paris. L’occasion était rare : cinq prêtres français, tués en haine de la foi par des partisans de la Commune de Paris le 26 mai 1871, ont été proclamés bienheureux. Des noms méconnus de la plupart des fidèles, mais dont la béatification permet désormais de rendre le culte public. Il s’agit du père Henri Planchat, prêtre de la congrégation de Saint-Vincent-de-Paul, ainsi que des pères Ladislas Radigue, Polycarpe Tuffier, Marcellin Rouchouze et Frézal Tardieu, tous les quatre religieux picpuciens.
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Les martyrs de la Commune, une béatification qui oblige
En béatifiant cinq prêtres massacrés "en haine de la foi", l’Église ne cherche pas la polémique avec les défenseurs de la Commune de Paris. Sa démarche est tout sauf politique, souligne notre chroniqueur, c’est un devoir de justice et de vérité.
Ce samedi 22 avril, l’Église catholique béatifie cinq ecclésiastiques martyrisés pendant la Commune. Citons-les : Henri Planchat, prêtre de la congrégation de Saint-Vincent-de-Paul, Ladislas Radigue, Polycarpe Tuffier, Marcellin Rouchouze et Frézal Tardieu, quatre religieux picpuciens. Pour l’occasion, le Vatican envoie une de ses huiles sur le feu des passions françaises : Mgr Marcello Semeraro, préfet du dicastère pour la cause des saints. Le cardinal se déplace en personne pour célébrer la messe à Saint-Sulpice, la plus grande église de Paris. Gageons que des black blocs ne viennent pas gâcher la fête pour faire battre en retraite les Versaillais qui votent Emmanuel Macron et leurs suppôts calotins. Pourtant, sur ce dossier, le Saint-Siège a tout fait pour la jouer prudente car les maux gisent dans les mots : officiellement, l’Église va honorer les prêtres martyrs « de 1871 » et non « de la Commune », à l’image des martyrs « de septembre » (1792) préféré à ceux « de la Révolution française ». Dater plutôt que nommer. Comment interpréter ce jeu de cache-cache sémantique ? Hasardons-nous à quelques pistes.
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« À mort les calotins ! », le massacre des otages de la rue Haxo
Après l’exécution de Mgr Darboy et de ses cinq compagnons, la Commune de Paris est emportée par sa folie meurtrière. Ce seront les tueries des 25 et 26 mai avenue d’Italie et rue Haxo, où meurent dans la confusion mais dignement seize autres prêtres et religieux, avec une quarantaine d’otages. (3/3)
Dans quelques jours, les troupes versaillaises auront repris Paris. Adolphe Thiers avait eu la possibilité de sauver l’archevêque de Paris et 74 autres otages avec lui en les échangeant contre Auguste Blanqui, mais s’en était bien gardé. Il fera donner à Mgr Darboy des obsèques nationales solennelles. Pour l’heure, l’annonce de l’assassinat de l’archevêque est pain bénit. Maintenant, les Communards n’ont plus de pitié à attendre ; ils sont tous voués à la mort, les vrais coupables comme les innocents, les idéalistes comme les assassins.
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Frat de Lourdes : ce tube que 10.000 lycéens n’oublieront jamais
"N'aie pas peur Il est là, Ohoh lalalalalala" ! Assurément ce refrain entêtant va être repris par près de 10.000 lycéens qui se retrouvent enfin à Lourdes à partir de ce dimanche pour le Frat 2023.
Ce dimanche 23 avril, c’est le grand retour du Frat à Lourdes ! Après les années d’annulation à cause du Covid, près de 10.000 lycéens sont attendus du 23 au 28 avril dans la cité mariale pour vivre une semaine exceptionnelle de foi, de partage et de prières. Ils pourront, entre autres, rencontrer quelques personnalités qui ont marqué l’année catho, comme le comédien Mehdi Djaadi, auteur de Coming out, ou encore sœur Catherine, la religieuse qui apparaît dans le dernier film de Gad Elmaleh, Reste un peu.
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La paix par les plaies
Un jour, un homme ne s’est pas vengé, et l’histoire s’est retournée. Ainsi naquit le règne de la Miséricorde, raconte le père Luc de Bellescize, montrant que la rédemption est plus forte que le mal.
« Quel est ton nom ? demande l’empereur de Rome dans le film Gladiator de Ridley Scott, tu as bien un nom tout de même ? — Mon nom est Gladiateur, dit “l’Espagnol” en se retournant. — Comment oses-tu me tourner le dos, esclave ! Tu vas retirer ton casque et me dire comment tu te nommes. » Alors l’ancien officier fait face à son ennemi :
Mon nom est Maximus Desimus Meridius, commandant en chef des armées du Nord, général des légions Félix, fidèle serviteur du vrai empereur Marc Aurèle. Père d’un fils assassiné, époux d’une femme assassinée, mais j’aurais ma vengeance dans cette vie ou dans l’autre.
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Pourquoi Jésus disparaît-il lors du repas à Emmaüs ?
En disparaissant aux yeux de ses disciples dans l’auberge d’Emmaüs, Jésus ressuscité leur révèle que la charité qui fut la sienne durant sa vie terrestre, agit désormais en eux.
« Reste avec nous car le soir tombe… » disent les disciples d’Emmaüs à leur compagnon de route en qui ils n’ont pas encore reconnu Jésus(Lc 24,29). Nous, chrétiens du XXIe siècle, savons que c’est le Christ qui cheminait avec eux. Connaissant le fin mot du récit, pouvons-nous encore faire nôtre l’invitation des deux pèlerins : « Reste avec nous car le soir tombe » ? Le cri du cœur des compagnons de route du Ressuscité est-il toujours d’actualité ? Certainement, car quand le « soir tombe », c’est-à-dire quand les ténèbres commencent à gagner sur la lumière, souvent nous sommes découragés, voire déprimés. La foi ne nous prémunit pas toujours contre le moral en berne, l’abattement. Aussi est-ce dans ces moments de trou d’air spirituel et moral qu’il est recommandé de se souvenir du récit évangélique du soir du jour de Pâques, et surtout de reprendre à son compte, du fond du cœur, les propos pressants des deux disciples : « Reste avec nous car le soir tombe. »
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Modification de l'horaire des messes
La messe prévue à Vaumeilh dimanche 30 avril est reportée au dimanche 14 mai , la fête du village ayant été déplacée à cette date .
Le dimanche 30 avril , la messe aura donc lieu à La motte du Caire ( 11h ) .
Le Pape dénonce une « euthanasie cachée » des personnes âgées par souci d’économie
Le pape François a dénoncé "une euthanasie cachée et progressive" qui consiste à priver une personne âgée des traitements dont elle a besoin afin d’ "économiser".
Devant les membres de l’association religieuse italienne des instituts socio-sanitaires (ARIS), qu’il a reçus le 13 avril 2023 au Vatican, le Pape a constaté la tendance des hôpitaux à abréger les hospitalisations, en traitant « les phases les plus aiguës de la maladie » mais pas « les maladies chroniques », conduisant à « des parcours peu respectueux de la dignité des personnes », en particulier les plus âgées.
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Cathédrale Notre-Dame de Paris en chantier, émission spéciale
Ce vendredi 14 avril à 20h35, KTO vous propose une émission spéciale consacrée à la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris, quatre ans après l'incendie.
Reconstruction, nettoyage, aménagement liturgique... l'occasion de faire le point sur les étapes du chantier, de découvrir des chefs-d'œuvre de l'édifice avant même sa réouverture et aussi d'évoquer ensemble l’aménagement liturgique de cette cathédrale qui demeure une invitation permanente à la prière, et qui n’a jamais cessé d’attirer les regards du monde entier.
Sur notre plateau, la rédaction de KTO reçoit :
- Mgr Olivier Ribadeau-Dumas, recteur-archiprêtre de la cathédrale Notre-Dame de Paris
- Philippe Jost, Directeur général délégué de l’Etablissement public chargé de rebâtir Notre-Dame de Paris
Avec la participation de Mgr Laurent Ulrich, archevêque de Paris et du Général Georgelin, président de l’Établissement public.
Pour nourrir les échanges, posez vos questions à
D’incroyables découvertes archéologiques sous la basilique Saint-Denis
Les fouilles préventives menées en vue de la reconstruction de la flèche de la basilique Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) ont révélé de belles surprises. 210 sépultures de l'époque mérovingienne et carolingienne ont été mises au jour.
Après les deux sarcophages de plomb découverts à Notre-Dame, c’est au tour de la basilique Saint-Denis (Seine-Saint-Denis)de livrer ses secrets. Menées en vue de la reconstruction de la flèche, des fouilles à l’intérieur et à l’extérieur du sanctuaire ont permis la découverte de 210 sépultures, dont les plus anciennes datent du Ve siècle et les plus récentes de la fin du Moyen Âge. Si la découverte de tombes n’a rien de surprenant – la basilique étant construite sur des cimetières – c’est leur nombre et leur état de conservation, qualifié « d’exceptionnel » par l’Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) en charge des fouilles, qui retiennent l’attention.
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La basilique d’Angers sauvagement vandalisée et profanée
La basilique Sainte-Madeleine d’Angers (Maine-et-Loire) a été "sauvagement vandalisée" mercredi 12 avril. Plusieurs statues ont été décapitées, des croix cassées et le maître autel central saccagé. Une messe de réparation aura lieu le dimanche 23 avril.
Plusieurs statues décapitées, des croix cassées, le maître autel central saccagé… C’est un tragique spectacle qu’ont découvert les fidèles présents mercredi 12 avril. La basilique Sainte-Madeleine d’Angers (Maine-et-Loire) a été « sauvagement vandalisée », a dénoncé le maire de la ville, Jean-Marc Verchère (Modem). Il a condamné sur place « cet acte odieux » et a tenu à apporter son soutien « aux paroissiens et à la communauté catholique très affectés par ces dégradations qui interviennent au lendemain des célébrations de Pâques. » Une enquête a été ouverte.
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Lyon : un chemin de croix, un évêque et 900 CM2 !
Ce vendredi saint à Lyon, le premier chemin de croix de la journée, présidé par Mgr de Germay, avait lieu dès 9 heures du matin avec près de 900 élèves de CM2, qui sont montés, à la suite du Christ, de la cathédrale Saint Jean à la basilique de Fourvière. Reportage.
De mémoire de Lyonnais, personne ne se souvient vraiment quand a été lancé ce chemin de croix dédié aux élèves de CM2, « depuis 10 ans, 15 ans ? ». Une chose est certaine, l’organisation par la Direction de l’Enseignement Catholique de Lyon est bien rodée, et impressionnante. Car pour ce vendredi saint 2023, ce sont pas moins de 18 écoles primaires catholiques, soit tout de même près de 900 élèves de CM2, qui se sont retrouvés à 9 heures pile dans la cathédrale Saint Jean où les attendait l’évêque des lieux, Mgr de Germay. Chaque année, hors Covid bien sûr, ce sont donc des élèves de 10-11 ans, de Lyon et des alentours, qui sont invités à vivre ensemble le chemin de croix, ici symbolisé par cette montée à Fourvière, à travers les jardins du rosaire, où les enfants s’arrêtent pour prier au rythme des stations.
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Carême 2023 : avec Marie, convertir la confiance en foi
La conversion du cœur passe aussi par la conversion de ses émotions. Durant le carême, le père Michel Martin-Prével invite à "évangéliser" ses émotions en les identifiant, puis en les transformant en vertu. Aujourd’hui, Aleteia donne des pistes pour passer de la confiance à la foi de Pâques.
Alors qu’aucun des proches de Jésus ne peut encore avoir la foi après la descente de la Croix, Marie prend le relais de son Fils en le serrant dans les bras puissants de sa confiance. La confiance est une espérance ferme, et Marie est dans l’assurance d’une personne qui se fie à quelqu’un, son Fils mort temporairement, et à quelque chose de grand, la Résurrection.
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5.463 adultes seront baptisés la nuit de Pâques
L’Église catholique s'apprête à accueillir 5.463 nouveaux baptisés en France, soit 1.000 de plus qu’en 2022. Un tiers d’entre eux sont des jeunes catéchumènes âgés entre 18 et 25 ans.
C’est un moment particulièrement beau et émouvant que la Vigile pascale. Chaque année à Pâques, de nombreux catéchumènes deviennent catholiques par le baptême, auquel ils se sont préparés pendant au moins deux ans. Cette année, 5.463 adultes seront baptisés en France métropolitaine et outre-mer au cours de la Vigile pascale, samedi 8 avril, a indiqué la Conférence des évêques de France (CEF).
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Carême 2023 : avec Jean, convertir l’admiration en religion
La conversion du cœur passe aussi par la conversion de ses émotions. Durant le carême, le père Michel Martin-Prével invite à "évangéliser" ses émotions en les identifiant, puis en les transformant en vertu. Aujourd’hui, Aleteia donne des pistes pour passer de l'admiration à la religion.
Les nombreux tableaux représentant la Cène, montrent toujours les visages des apôtres saisis par le Christ, surtout celui de saint Jean. L’évènement est mirifique, miraculeux, mots qui ont la même racine qu’admirable. Plus que la foi ou la confiance, l’admiration est étonnement, émerveillement, ravissement. Peut-être que dans l’admiration une certaine capitulation de notre intelligence et de notre volonté nous fait perdre « l’esprit », à défaut d’être dans l’Esprit-Saint.
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Fin de vie : « On ne peut pas dire que notre vie est accomplie tant qu’elle n’est pas finie »
Tandis qu’Emmanuel Macron a affirmé le 3 avril qu’il souhaitait un projet de loi sur la fin de vie "d’ici à la fin de l’été", Elisabeth de Courrèges, ergothérapeute en mission dans une unité de soins palliatifs pédiatrique en Arménie, interroge la notion de "vie accomplie" régulièrement mise en avant pour justifier l’euthanasie. Mais n'est-ce pas à la toute fin de sa vie que le Christ a déclaré : "Tout est accompli"?
On justifie souvent les demandes d’euthanasie en soutenant délibérément que l’on a eu une vie accomplie : vie professionnelle, vie intellectuelle, vie spirituelle. Et que la maladie, la vieillesse ou l’agonie risqueraient de voir tout ce travail patiemment entrepris, en quelques mois et par quelques symptômes, totalement déconstruit. N’ayant pas encore 30 ans et aspirant aussi à « accomplir ma vie », j’ai tendance à dire que je comprends. Mais je ne peux m’empêcher de me rappeler, en même temps, que ce n’est qu’à la fin de sa vie que Jésus a dit « tout est accompli ».
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Nicaragua : les catholiques empêchés de vivre la Semaine sainte
Au Nicaragua, les catholiques s'apprêtent à vivre une Semaine sainte particulièrement difficile. L'interdiction des processions, ajoutée à de multiples restrictions, empêche les fidèles de pratiquer leur foi correctement pendant cette période liturgique cruciale.
Les catholiques du Nicaragua semblent tout particulièrement porter leur croix en cette Semaine sainte, tandis qu’un florilège de restrictions les empêche de pratiquer librement leur foi. Alors que le carême venait tout juste de débuter, les processions ont de nouveau été interdites en extérieur. Malgré le début de la Semaine sainte avec le dimanche des Rameaux, aucun allègement de cette interdiction n’a été décidé par le gouvernement Ortega. Au contraire, d’après le journal nicaraguayen Confidencial, ce dernier a même ordonné à la police de renforcer la surveillance des catholiques. La traditionnelle procession des Rameaux (« Procesión de Las Palmas ») a ainsi été empêchée. D’après ce même journal, un sentiment d’impuissance mêlé de peur a saisi les fidèles catholiques du pays face à ce que beaucoup qualifient de « harcèlement ».
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Enlèvements, meurtres… Le lourd tribut des prêtres au Nigeria
En 17 ans, de 2006 à 2023, 53 prêtres ont été enlevés, 16 tués et 12 attaqués au Nigeria, a récemment indiqué la conférence épiscopale nigériane. Des chiffres glaçants qui témoignent de la difficile mais nécessaire mission de l’Église dans le pays.
Le Nigeria, terre de martyrs. De 2006 à 2023, en 17 ans, 81 prêtres ont été victimes d’attaques dans le pays, a récemment indiqué la conférence épiscopale nigériane à l’agence Fides. Dans le détail, 53 prêtres ont été enlevés, 12 attaqués et 16 tués. La plupart des prêtres enlevés l’ont été lors de leurs déplacements ou dans l’attaque de leur domicile.
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Carême 2023 : avec Pierre, convertir l’aversion du péché en continence
La conversion du cœur passe aussi par la conversion de ses émotions. Durant le carême, le père Michel Martin-Prével invite à "évangéliser" ses émotions en les identifiant, puis en les transformant en vertu. Aujourd’hui, Aleteia donne des pistes pour passer de l'aversion du péché à la continence.
Se détourner du péché à cause de son aversion, c’est certainement ce qu’a dû faire Pierre au long de sa vie, surtout quand il a décidé de suivre le Christ. On connaît son élan vers le bien, sa présomption aussi à croire qu’il peut y arriver sans trop de combat. Sur le lac, sa décision de marcher sur l’eau met en valeur son opposition aux flots impétueux, mais il n’est pas l’homme du courage dans le temps et son apparente victoire sur la mer symbolisant le péché, précède son naufrage.
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Fin de vie : Emmanuel Macron souhaite une nouvelle loi « d’ici à la fin de l’été »
Emmanuel Macron a affirmé ce lundi 3 avril qu’il souhaitait un projet de loi "d’ici à la fin de l’été" pour élaborer un "modèle français de la fin de vie".
Une nouvelle loi sur la fin de vie d’ici la fin de l’été, c’est le souhait qu’a formulé Emmanuel Macron ce lundi 3 avril lors d’un discours prononcé à l’issue d’une rencontre avec les membres de la Convention citoyenne sur la fin de vie au lendemain de la publication de leurs conclusions. « En lien avec les parlementaires », avec « toutes les parties prenantes et sur la base des conclusions » rendues dimanche par la Convention citoyenne sur la fin de vie, le chef de l’État entend bâtir ce qu’il a appelé un « modèle français de la fin de vie », via cette nouvelle loi.
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Paris : au moins 35 chemins de croix organisés dans les rues Vendredi saint
Au moins 35 chemins de croix sont organisés cette année dans les rues de Paris pour le Vendredi saint, le 7 avril.
Non, le chemin de croix n’est pas réservé aux bigots ou grenouilles de bénitiers ! Si quasiment toutes les paroisses de Paris prévoient des chemins de croix en intérieur, au moins 35 d’entre eux se dérouleront en extérieur, dans les rues de la capitale, pour le Vendredi saint. Outre le traditionnel chemin de croix de la basique du Sacré-Cœur présidé par l’archevêque de Paris, Mgr Laurent Ulrich, vendredi à 15h, d’autres sont organisés dans quasiment tous les arrondissements de la capitale.
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