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Elles sont les grandes oubliées de la société, ces milliers de personnes qui donnent à voir, au milieu des souffrances, ce qu’il y a de plus beau et de plus humain en chacun : cette capacité à prendre soin. Blanche Streb rend hommage aux "aidants" qui se dévouent en silence à leurs proches atteints d’une longue maladie, handicapés ou en fin de vie.
Il y a quelques jours, au sein d’un colloque, je devais donner un petit enseignement dont l’intitulé qui lui avait été donné désignait l’époque que nous vivons comme celle d’une « culture de mort ». Certes, que dire d’autre quand on regarde les sujets qui touchent à la vie, en particulier les lois qui existent ou qui rôdent ? Il faudrait être aveugle pour ne pas voir ces forts courants politiques, culturels, économiques porteurs d’une certaine conception utilitariste de la société qui fomentent une culture réellement contraire à la solidarité et à la vie. Oui, il y a un combat où s’affrontent cultures de vie et de mort, bien et mal. Pourtant, quelque chose en moi veut résister à cette seule évocation de culture de mort pour qualifier notre temps ; mon côté rebelle veut dire NON, ce n’est pas tout.
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Communiquer des faits, des informations, passe encore, mais exprimer ses émotions ou, plus difficile encore, comprendre les émotions de son conjoint, voilà un défi de taille pour les couples ! Et un enjeu aussi.
Les conseillers conjugaux sont unanimes : la communication est un pilier du couple. Mais qu’entend-on précisément par communication ? Car il n’est pas question ici des échanges concernant le menu du dîner ou l’organisation du week-end, non. Il s’agit plutôt de l’expression sincère, vraie et réciproque, de ses émotions, de ses désirs, de ses besoins, et de la réception attentive et bienveillante que leur réserve le conjoint. Un dialogue en profondeur qui permet d’éviter bien des quiproquos conjugaux et leur lot de disputes et de frustrations. « Le premier processus à construire au sein du couple est celui de la compréhension mutuelle des émotions », souligne Marc d’Anselme, psychologue et thérapeute de couple, auteur du récent ouvrage L’amour durable (Artège).
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Né le 20 février 1888, écrivain de combat et ancien combattant, romancier spirituel et figure de la résistance, Georges Bernanos a laissé derrière lui une pléthore d’œuvres majeures.
Parmi la quarantaine d’écrits (essais, romans, théâtre et correspondance), publiés par Georges Bernanos, voici les cinq œuvres qu’il faut impérativement avoir lues.
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Le presbytère, l’église et les locaux de la paroisse Notre-Dame d'Afrique de Mazeze, dans le diocèse de Pemba (Mozambique) ont été réduits en cendres lors d’une attaque terroriste le 12 février. Le père Salvador Maria Rodrigues de Brito a heureusement pu sauver ce que l’église comptait de plus précieux : le Saint-Sacrement.
Le Mozambique se retrouve à nouveau depuis quelques jours plongé dans la violence, en particulier la région de Capo Delgado au nord du pays. Ces derniers jours, des mouvements djihadistes proches de Daech ont attaqué les populations et brûlé plusieurs écoles et églises, forçant des milliers de personnes à fuir. Alors que le pape François a appelé ce dimanche 18 février à prier pour le Mozambique, le père Salvador Maria Rodrigues de Brito, curé de la paroisse Notre-Dame d’Afrique de Mazeze, dans le diocèse de Pemba (dans la région de Capo Delgado), a raconté au micro de Radio Pax le 14 février comment les terroristes ont réduit en cendres le presbytère, l’église et les locaux de sa paroisse.
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Les "passions désordonnées" sont comme des "bêtes sauvages" qui "doivent être apprivoisées et combattues", a déclaré le pape François lors de l’Angélus du 18 février 2024, premier dimanche du carême.
Le temps du carême doit permettre à l’homme de suivre l’exemple du Christ qui a passé quarante jours dans le désert, période pendant laquelle il a été tenté par le diable, , a affirmé le pape François lors de l’Angélus du 18 février. François a rappelé que dans l’Évangile de Marc, Jésus « vivait parmi les bêtes sauvages et les anges le servaient », et a proposé une lecture symbolique de cette présence.
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Le père Clément Barré, prêtre coopérateur de la paroisse Saint-Joseph-des-Jalles dans le diocèse de Bordeaux, commente les lectures du 2e dimanche de carême. C’est au désert que Jésus triomphe là où Adam a chuté. Le temps du carême n’est pas un temps pour être plus fort, mais un temps pour nous unir au Christ victorieux du mal.
Sur les tentations au désert, Marc assure le service minimum… et cela nous déstabilise un peu. Nous sommes tellement habitués à entendre en début de carême le récit des trois tentations, que nous oublions qu’un an sur trois, il nous faut nous contenter de ce court récit. Pas de pain qui peuvent devenir des pierres ou de saut de l’ange depuis le sommet du Temple, simplement une sobre mention : « Il y resta quarante jour tenté par Satan » (Mc 1, 13). Toutefois, si Marc se démarque de Matthieu et Luc par ce qu’il ne raconte pas, il y a aussi quelque chose qu’il est le seul à dire : « … tenté par Satan. Il vivait parmi les bêtes sauvages, et les anges le servaient. » La tentation par Satan, c’est habituel. C’est même le cœur de ce passage de l’Évangile. Le service par les anges est aussi mentionné par Matthieu, mais Marc est le seul à parler des bêtes sauvages.
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L'Église fait mémoire le 18 février de sainte Bernadette Soubirous, à laquelle la Vierge est apparue dix-huit fois au cours de l'année 1858. Derrière l'adolescente aux mains jointes, puis la religieuse, se dessine une femme au caractère bien trempé.
Le 11 février 1858, la Vierge apparaît à Bernadette Soubirous, une petite bonne femme de 14 ans qui vient d’une famille pauvre des environs. C’est le début d’une série de dix-huit apparitions au cours desquelles la fameuse « Dame » donnera son nom : elle est l’Immaculée conception. Fille d’un meunier ruiné, on imagine parfois Bernadette comme une jeune fille en sabots discrète et timorée, à la limite de la mièvrerie. Il n’en est rien. Simple, assurément, elle l’est, mais la petite Pyrénéenne a également un caractère bien trempé. Elle a le sens de la répartie.
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L’hospice de Saint Richard à Worcester en Angleterre, a été le théâtre d’une touchante attention. Un pilote a dessiné dans le ciel de janvier un visage souriant devant les yeux émerveillés de Ray Stanton, 66 ans, atteint d’un cancer incurable et passionné d’aviation.
Un sourire dessiné dans le ciel ? Ce sourire est la prouesse d’un pilote de voltige aérienne, Rich Goodwin, rapporte la BBC. Il l’a exécutée en l’honneur de Ray Stanton, 66 ans, hospitalisé pour un cancer en l’hospice de Saint Richard à Worcester en Angleterre. « C’était un événement vraiment spécial pour tous ceux qui l’ont regardé ! », a déclaré avec émotion, l’épouse de Ray, Angela.
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Nous connaissons le peintre, mais bien peu le bienheureux. Ce dominicain qui peignait comme un ange était d’abord un homme de prière et de pauvreté. Béatifié par le pape Jean-Paul II, l’Église fête sa mémoire le 18 février.
Pour Bernadette, la séance, une de plus, est interminable. Depuis des semaines, prêtres, religieux, évêques, théologiens de renom ou prétendus tels, mais aussi journalistes et simples curieux, parfois d’ailleurs vraiment en quête de Dieu, défilent à Lourdes, demandent à la voir et l’éreintent de questions, toujours les mêmes. Il en est une qui revient régulièrement : à quoi ressemble la Sainte Vierge ? Consciencieusement, l’adolescente tente de répondre, allant même, un jour, pour un visiteur plus malheureux que les autres, à « lui faire le sourire de Notre-Dame », se transfigurant au point que cet agnostique se retirera converti. Aujourd’hui, les ecclésiastiques venus la voir ont apporté un gros livre présentant les reproductions des plus célèbres images mariales. Il y a là les plus grands peintres et sculpteurs de l’histoire de l’art chrétien mais rien n’y fait et Bernadette se contente de tourner les pages avec une grimace de dépit : cela ne ressemble ni de près ni de loin à ce qu’elle a vu. En comparaison, tout est laid. Soudain, elle suspend son geste, se penche vers l’image, peinte par Fra Angelico, hésitante, murmure : « Il y a quelque chose, là… » puis soupire que « Non, ce n’est pas cela ».
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Que signifie la multiplication des "panthéonisations" ? Quand on ne cesse de déconstruire les normes, qu’on ne sait plus ce qu’est une nation, il ne reste plus que le culte des morts pour remplir le vide du pouvoir démocratique, explique l’historien Paul Airiau.
Donc, par la grâce présidentielle, la France et la République — c’est ici tout un — vont se voir doter d’un nouveau saint : Robert Badinter, santo subito. Et toc, encore un héros républicain, à un rythme échevelé serait-on tenté de dire. Car la chronologie est implacable. Depuis la présidence de Jacques Chirac, la République canonise, célèbre, panthéonise et rend hommage à tout va. Quatre panthéonisations, six hommages nationaux et une cérémonie d’obsèques nationales sous Jacques Chirac, quatre hommages nationaux et deux cérémonies d’obsèques nationales sous Nicolas Sarkozy, quatre panthéonisations et quinze hommages nationaux sous François Hollande, trois panthéonisations, 23 hommages nationaux et deux cérémonies d’obsèques nationales sous Emmanuel Macron — et on laisse ici de côté les hommages nationaux aux militaires tués en opération. François Mitterrand n’avait panthéonisé que quatre fois, Valéry Giscard d’Estaing et Georges Pompidou aucune, et Charles de Gaulle une.
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La rencontre avec le Christ passe toujours par une rencontre avec une parole. Pour la philosophe Jeanne Larghero, nous pouvons changer une vie en osant parler du feu de l’amour de Dieu pour elle.
Levons un malentendu. Le christianisme n’est pas une religion du Livre. Selon une idée reçue qui a la vie dure, il y aurait trois grandes religions du livre, entendez le judaïsme, le christianisme et l’islam, chacune ayant son texte de référence, le texte qui fait foi. C’est une idée fausse. Le christianisme n’est pas une religion du Livre, il est la religion de la Parole. « Au commencement était le Verbe, et le Verbe était auprès de Dieu, et le Verbe était Dieu », voilà comment débute l’évangile selon saint Jean.
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Alors que la paroisse de la "cathédrale des Halles", Saint-Eustache, célèbre cette année les 800 ans de sa fondation, un spectacle narratif en sons et lumières illumine cet écrin jusqu'au 25 mai.
Dans le quartier des Halles, entre la Bourse du Commerce et la rue Montmartre où se pressent les passants, il faut lever haut la tête pour que le regard se pose sur Saint-Eustache. L’église surplombe, imposante et élancée, le Ier arrondissement de Paris pour s’élever au-dessus des toits de la ville. Hasard du calendrier, c’est en cette année jubilaire des 800 ans de la fondation de sa paroisse que l’équipe de Luminiscence s’est installée sous la nef de l’édifice. Vendredi 16 février verra Saint-Eustache briller d’un nouvel éclat.
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C'est la belle histoire de la semaine. Alors qu'une grève de taxis bloquait l'aéroport de Nantes ce mercredi 14 février, une religieuse n'a pas pu prendre son avion pour Toulouse, où elle était attendue pour donner un rein à son frère. Gréviste mais altruiste, un chauffeur de taxi s'est proposé gratuitement pour l'emmener accomplir sa mission.
Certes en France, on connaît les grèves à répétitions, mais on ne manque pas non plus de Français au grand cœur, quelles que soient leurs missions. C’est ainsi que ce mercredi 14 février, les taxis nantais étaient en grève, et pour mieux faire entendre leurs revendications contre la concurrence déloyale des VTC, ils ont bloqué l’accès principal à l’aéroport de Nantes.
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Les catholiques de la paroisse de la Sainte-Famille, à Gaza, ont eux aussi célébré l'entrée en carême mercredi 14 février, malgré une situation humanitaire et sécuritaire plus que préoccupante. Leur présence dans cette enclave est plus que jamais menacée.
Alors que le carême a débuté mercredi 14 février, les catholiques de Gaza sont eux aussi entrés dans ce temps liturgique fort, cheminant vers Pâques malgré le chaos engendré par la guerre. Dans la paroisse de la Sainte-Famille, les fidèles ont célébré la messe des cendres. Le père Joseph Asad a apposé les cendres sur le front de ses paroissiens, rappelant que le carême est un temps de conversion et de combat spirituel pour atteindre, à l’image des Hébreux dans le désert, la Terre promise. Une symbolique d’autant plus forte pour les catholiques que tous les chrétiens de Gaza luttent pour leur survie dans cette enclave palestinienne sous le feu des bombardements.
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La politesse n’est pas d’abord un code de règles formelles, mais le miroir de l’homme intérieur. Élégance de l’esprit, elle pacifie les passions et les émotions.
La France fut durant plusieurs siècles une référence et un modèle en matière de politesse, de savoir-vivre, de civilité. Elle a désormais perdu ce rôle phare en Occident et dans le reste du monde, surtout si on la compare avec les usages de certains pays asiatiques tels que le Japon. La politesse à la française possédait une différence essentielle avec celle de l’empire du Soleil levant car elle résultait de la foi chrétienne, de son application dans les choses ordinaires et quotidiennes : elle était le reflet de la charité en acte, dans sa pratique, et pas seulement en mots. Dans une société qui a perdu son tissu religieux, la politesse risque de disparaître au profit de simples règles, sans âme, desséchées, réduites à leur plus simple expression.
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Les métaphores sportives sont nombreuses dans les lettres de l’apôtre Paul. Alors que commence le carême, temps d’exercice au combat spirituel, les écrits pauliniens peuvent appuyer l’entraînement des chrétiens en vue d’accueillir la Résurrection d’un cœur renouvelé.
L’oraison est formelle, et c’est par elle que débute chaque année le carême, à la messe du mercredi des Cendres : « Accorde-nous, Seigneur, de savoir commencer saintement, par le jeûne, l’entraînement au combat spirituel : que nos privations nous rendent plus forts pour lutter contre l’esprit du mal. ». Pendant ces quarante jours qui s’ouvrent aux fidèles, il s’agit bien de s’entraîner. Car, si la fête de Pâques nous rappelle chaque année que le Christ a vaincu la mort, elle actualise par la même le besoin de rester vigilant face au mal.
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Ce mercredi 14 février, Mercredi des Cendres, KTO vous propose une programmation spéciale, ainsi que des vidéos sur le sens de ce jour de pénitence qui marque l'entrée en Carême.
Plusieurs retransmissions en direct vont marquer cette journée sur KTO et ktotv.com : audience générale avec le Pape, messe à la grotte de Lourdes ainsi que l'imposition des cendres et la messe à Rome présidée par le pape François.
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Lors de la messe de canonisation de Mama Antula, ce dimanche 11 février, le pape François a mis en garde contre trois "lèpres de l'âme" : la peur, les préjugés et la fausse religiosité, et a montré le chemin de la charité dans la vie de tous les jours.
« La peur, les préjugés et la fausse religiosité sont les trois causes d’une grande injustice, trois « lèpres de l’âme » qui font souffrir le faible et qui le rejettent comme un déchet », a averti le pape François le 11 février lors de la messe de canonisation de Mama Antula (1730-1799), la première sainte de l’Argentine, qui y diffusa les Exercices spirituels de saint Ignace de Loyola à la fin du XVIIIe siècle.
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De nombreux pèlerins venus d’Argentine et d’Amérique latine ont participé ce dimanche 11 février à la messe de canonisation de Maria Antonia de Paz y Figueroa, alias Mama Antula (1730-1799).
« Une mère spirituelle de la Patrie » : c’est ainsi que Silvia Correale, postulatrice de la cause de canonisation de Mama Antula, a défini cette femme qui forma aux Exercices spirituels plus de 70.000 personnes, parmi lesquels les intellectuels argentins qui allaient conduire le pays vers l’indépendance quelques années plus tard.
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Une enquête menée par l’Ifop pour le Syndicat de la famille révèle qu'une proportion importante de parents (63%) affirme ne pas savoir ce qui est enseigné à leur enfant lors des séances d’éducation sexuelle.
Selon une étude de l’Ifop menée pour le Syndicat de la famille et publiée le 9 février, la majorité des Français (62%) estime qu’il n’est pas approprié de parler de sexualité à l’école à des enfants de moins de 13 ans. Un chiffre basé sur un panel de 1.200 personnes qui ont répondu à un questionnaire en ligne du 31 janvier au 1er février 2024.
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