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Les dernières informations.
Pour le 80e anniversaire du Débarquement, le diocèse de Bayeux-Lisieux organise plusieurs évènements mémoriaux dont une cérémonie à Bayeux le 8 juin 2024 en hommage aux 138 prêtres, séminaristes, religieux et religieuses disparus lors du Débarquement et de la Bataille de Normandie.
Le P. Pascal Marie, curé de la paroisse Notre-Dame de l’Estuaire à Honfleur, les a recensés après un long travail de recherches historiques. Pendant vingt ans, il a analysé les archives pour redonner vie à ces visages oubliés.
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A six mois de la réouverture de Notre-Dame de Paris, ravagée par un incendie le 15 avril 2019, KTO vous propose de découvrir la cathédrale de manière inédite en images. Durant 52 minutes, la rédaction vous emmène dans les endroits les plus emblématiques de la reconstruction à la rencontre des ouvriers, compagnons et architectes, des artisans d'art et restaurateurs, pour prendre la mesure de l'incroyable travail engagé depuis cinq ans. Une émission à ne pas manquer ce samedi 8 juin à 20h35 sur KTO.
Après plus de cinq ans de travaux, la cathédrale Notre-Dame de Paris s’apprête à accueillir à nouveau les fidèles et les pèlerins de France et du monde entier. Une plongée dans les détails qui constituent la cathédrale dont le chantier a mobilisé des centaines d’ouvriers, d’artisans et de professionnels à travers la France.
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Nous sommes appelés à faire la volonté de Dieu ici et maintenant. Mais comment savoir, à chaque instant, quelle est la volonté du Seigneur ? Est-il en notre pouvoir de la connaître et de l’accomplir dans la vie de tous les jours ?
Sans Dieu, nous ne pouvons rien faire. Bien évidemment, quand nous prétendons pouvoir accomplir quelque chose, cela sous-entend toujours : avec la grâce de Dieu. Si Dieu cessait un seul instant de nous soutenir, nous ne pourrions rien faire. S’Il cessait un seul instant de nous aimer, nous n’existerions même plus. Dieu choisit d’avoir besoin de nous. Dieu n’a pas besoin de nous, au sens strict du terme — Il existe sans nous et se suffit à Lui-même — mais en nous créant, en nous associant à son œuvre de Création et, plus encore, à son œuvre de Rédemption, Il choisit d’avoir “besoin” de nous.
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Comment rester conscient de la présence de Jésus-Christ dans le Saint-Sacrement ? Voici huit conseils pour ne pas tomber dans une forme d’habitude ou d'indifférence à l’égard de cette présence réelle du Christ dans l’eucharistie.
Si l’on s’adresse facilement à Jésus dans sa prière, que l’on se réjouit de contempler sa Création lors d’une balade en forêt, on oublie parfois sa présence réelle dans le Saint-Sacrement. On prend cette réalité pour acquise, jusqu’à se rendre indifférent à sa présence. Alors, pourquoi ne pas profiter de ce mois de juin pour lutter contre cette “routine eucharistique” ? Si Jésus est vraiment présent dans le Saint-Sacrement, alors, chaque fois que vous entrez dans une église et que vous allez devant le tabernacle, vous vous approchez de Lui. C’est une grâce extraordinaire ! Voici huit petites astuces pour ne pas tomber dans cet écueil.
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La mise en place d'un musée de l’Œuvre de Notre-Dame se profile pour l'horizon 2029. Charles Personnaz, directeur de l’Institut du patrimoine, en a révélé les contours lors de son audition à l'Assemblée nationale, mardi 28 mai.
Alors que la réouverture de Notre-Dame de Parisse rapproche, c’est un autre chantier qui se fait jour autour de la cathédrale : celui d’un musée promis par Emmanuel Macron, le 8 décembre 2023, au sein de l’Hôtel-Dieu. Ce musée doit être “un musée d’histoire, un musée d’art, un musée qui va aussi décrire le chantier permanent de Notre-Dame de Paris”, avait ainsi déclaré le président de la République.
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Les députés débattent depuis le 27 mai du projet de loi sur la fin de vie, plus précisément des soins palliatifs. Malgré les efforts de nombreux parlementaires pour les promouvoir, c’est bien les discussions de cette semaine qui inquiètent et pourraient faire de la France le pays le plus permissif au monde sur la question de l’euthanasie et du suicide assisté.
Le projet de loi sur la fin de vie est examiné par les députés depuis le 27 mai. Avant de débattre de l’euthanasie et du suicide assisté, les parlementaires se sont penchés sur les soins palliatifs dont on manque cruellement en France. Plusieurs amendements ont été adoptés et ajoutés au projet initial, comme la création d’un “droit opposable” sur les soins palliatifs. Une mesure qui permettrait à un malade “d’introduire un recours devant la juridiction administrative” si celle-ci “n’a pas reçu une offre de prise en charge palliative”.
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Saint Joseph de Cupertino, saint Augustin, saint François de Sales…. Ces saints, qui sont aussi de puissants intercesseurs, sauront certainement inspirer les étudiants qui passent leurs examens… mais aussi leurs parents !
Passer des examens peut être une énorme source de stress pour les étudiants… et leurs parents ! Heureusement, il existe de nombreux saints vers lesquels se tourner lors de cette période délicate. S’il est bien sûr essentiel d’étudier et de se préparer, prier des saints est une manière de tout remettre entre les mains du Seigneur. Voici sept saints à invoquer pour obtenir leur puissante intercession pendant vos révisions et examens :
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Le pape François devrait annoncer la date de canonisation de Carlo Acutis le 1er juillet 2024 lors du consistoire "ordinaire" prévu ce jour-là.
Quand Carlo Acutis sera-t-il canonisé ? La reconnaissance d’un deuxième miracle attribué à l’intercession du “geek de Dieu” fin mai ouvrant la voie à sa canonisation a provoqué une onde de joie à travers le monde. Mais aussi une certaine impatience. Le Le pape François va présider un consistoire – une assemblée avec les cardinaux – pour valider la canonisation de futurs saints, le 1er juillet 2024, a annoncé le Bureau de presse du Saint-Siège ce 3 juin. Il devrait annoncer notamment la date de canonisation du jeune italien Carlo Acutis. Ce consistoire “ordinaire” et public aura lieu à 9h dans la salle du Consistoire du Vatican, précise le communiqué. Le Pape devrait y annoncer la date – en latin, selon la tradition – de diverses canonisations, qui pourraient avoir lieu à l’automne prochain.
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Devant l’épreuve de la souffrance, un lobby de bien-portants prend le risque de mettre en péril les plus faibles, en ne proposant que la piqûre fatale, s’insurge le père Benoist de Sinety, curé-doyen de la ville de Lille. En se croyant tout puissants, ils accélèrent un peu plus encore la décomposition d’une société qui n’est plus qu’un groupe d’individus capricieux.
Voici donc que dans le brouhaha entretenu d’une actualité qui nous disperse et nous déroute, arrive la loi que nul n’ose appeler par son nom et qu’il est convenu de désigner pudiquement comme loi “sur la fin de vie”. Elle était annoncée comme un texte humaniste, par un chef de l’État philosophe en mars dernier. Certes la double interview à La Croix et Libération comportait en soi une alerte, à moins qu’il n’eût fallu y voir une promesse inespérée de communion. Au bout du compte, le projet se révèle pour ce qu’il est grâce au débat parlementaire qui commence : une loi ouvrant droit et à l’euthanasie et au suicide assisté. Voici un “en même temps” préoccupant…
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Les députés entament ce lundi 3 juin leur deuxième semaine de débats autour du projet de loi sur la fin de vie. La première partie du texte, les soins palliatifs, ont été jusqu'à présent au cœur des échanges. Droit opposable, soins spirituels, loi de programmation… Les discussions houleuses ou apaisées ainsi que les amendements, votés ou rejetés, dessinent la compréhension et l’avenir des soins palliatifs de toute la société.
Première partie du colossal projet de loi sur la fin de vie, les soins palliatifs occupent les députés depuis le début de l’examen du texte en séance, le 27 mai. C’est encore sur eux qu’ils vont plancher ce lundi 3 juin avant de passer à la deuxième partie, “l’aide à mourir”. Composée de quatre articles, la première partie du texte vise à “renforcer les soins d’accompagnement et les droits des malades”.
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C’est une offre peu courante qu’ont publié fin mai les diocèses de Savoie. Situé à 1.800 mètres d’altitude le sanctuaire Notre-Dame des Vernettes, en Tarentaise, recherche des gardiens. Une fonction ouverte à tous à compter du 13 juillet 2024. Avis aux amoureux de la montagne et aux personnes sensibles à la Vierge Marie !
“Quoi de prévu cet été ?” Si le soleil n’est pas encore au rendez-vous, les vacances d’été sont bien au cœur des discussions entre collègues à la machine à café, en famille et entre amis. Il y a d’un côté les organisateurs forcenés, ceux qui ont déjà réservés billets et logements depuis plusieurs mois, et de l’autre les rois de l’improvisation.
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Le 6 juin 2024 marque les 80 ans du débarquement des forces alliées sur les plages de Normandie. A cette occasion, KTO vous propose une programmation spéciale autour de cet événement. Emission, reportages, temps de prière, documentaires…
Découvrez des programmes riches et variés tout au long de cette première semaine de juin.
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Le père Christian Lancrey-Javal, curé de la paroisse Notre-Dame de Compassion à Paris, commente l’évangile de la fête du Saint-Sacrement du Corps et du Sang du Christ. Le Saint-Sacrement est un remède dont l’efficacité dépend de notre fidélité : pour que la grâce de Dieu agisse en nous, il faut que nous soyons fidèles à sa Parole.
Les évangiles de Matthieu, Marc et Luc relatent une seule montée de Jésus à Jérusalem, pour y être crucifié, alors que Jésus s’est rendu à Jérusalem au moins trois fois durant les trois années de sa vie publique comme le relate l’évangile de saint Jean. Et comme il l’avait appris de ses parents, “chaque année, les parents de Jésus se rendaient à Jérusalem pour la fête de la Pâque.” (Lc 2, 41) Le fidèle pratiquant se rendait chaque sabbat à la synagogue et chaque année au Temple.
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La coexistence de Dieu et du mal est un mystère qui hante l'humanité depuis des siècles. Comment concilier l'existence d'un Dieu tout-puissant et infiniment bon avec la présence du mal ? Invité par l’Institut thomiste de Toulouse, le frère Ghislain-Marie Grange o.p. présente la réponse de saint Thomas d'Aquin : le mal est une privation de bien, permise par Dieu pour en tirer un plus grand bien.
Le problème du mal est déjà présent dans les premiers écrits de la Bible, notamment dans le livre de Job, qui met en scène les réactions des hommes face au mal subi. Job, homme pieux et vertueux, perd tous ses biens et sa famille. Les amis venus le consoler prétendent que c’est une punition divine pour son péché, car Dieu ne punit pas des innocents. Contre ces accusations, Job maintient qu’il n’est pas responsable de son mal et que pourtant, s’il souffre, ce n’est pas non plus parce que Dieu le punit injustement. Son mal lui apparaît comme une énigmedont Dieu seul connaît la raison ultime. Pour Job, il existe une réponse au problème du mal, mais l’homme ne peut pas la connaître entièrement.
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Alors qu’une atmosphère d’avant-guerre semble imprégner notre époque, il n’est pas vain, à l’occasion de ces journées commémoratives du Débarquement, d’approfondir le sens donné à leur vie par ces chrétiens qui ont résisté militairement à l’oppression. Parmi eux, se souvient notre chroniqueur Michel Cool, l’abbé de Naurois, aumônier du commando Kieffer.
Nous allons commémorer le 80e anniversaire du Débarquement en Normandie. 80 ans, c’était hier. Une poignée de décennies en regard des siècles déjà écoulés. Nous avons certes un rapport de plus en plus fugitif avec l’histoire. Nous vivons à un rythme accéléré et saccadé par la technologie numérique où une information en éclipse rapidement une autre. Elle nous fait subir en plus le joug de deux tyrans permanents : l’immédiateté et l’émotion.
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Près de cent millions de Mexicains sont appelés aux urnes le 2 juin 2024 afin d’élire leur prochaine présidente de la République, deux femmes étant en lice, mais aussi leurs députés. Cette campagne a été marquée par une violence extrême. Le père José Filiberto Velázquez Florencio, prêtre du diocèse de Chilpancingo-Chilapa, a accepté de partager son quotidien ces derniers mois entre violence, inquiétude et espérance.
“Ce furent des mois très difficiles.” Les mots du père Filiberto Velázquez Florencio, prêtre du diocèse de Chilpancingo-Chilapa, près d’Acapulco, et directeur du Centre Minerva Bello pour les droits des victimes de la violence, une institution qui documente les violences dans le diocèse, ne cachent pas son inquiétude . “Nous avons passé des semaines sans transports publics, les cours étaient suspendus, les malades ne pouvaient pas aller à l’hôpital… Puis l’Église a parlé avec ceux qui semaient la terreur dans la région et cela a permis de résoudre la crise.”
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Les députés examinent depuis le 27 mai le volet "soins palliatifs" du projet de loi sur la fin de vie. Favorables ou non à l’aide à mourir, les parlementaires tentent, à coups d’amendements, d’améliorer, infléchir ou préciser la version finale du texte.
L’examen du projet de loi sur la fin de vie a démarré à l’Assemblée nationale le 27 mai. Si la partie consacrée à l’aide active à mourir échauffe déjà les esprits sur les bancs, elle ne sera examinée que dans un second temps. Les députés se concentrent depuis le début de la semaine sur l’article 1er du texte qui entend “rénover l’approche de la prise en charge de la douleur et de la fin de vie”. Plusieurs amendements – sur les 3.300 à examiner sur le projet de loi – ont d’ores et déjà été débattus, et pour certains adoptés. Portées par des parlementaires de tous bords, ces modifications visent essentiellement à renforcer le texte pour améliorer l’accès aux soins palliatifs.
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Le Sénat a adopté le 28 mai une proposition de loi visant à encadrer les transitions de genre avant 18 ans, par 180 voix contre 136. Le texte amendé restreint la prescription des bloqueurs de puberté au lieu de les interdire, et proscrit les traitements hormonaux et actes chirurgicaux réassignant un genre aux mineurs.
Dans une ambiance particulièrement houleuse, le Sénat a adopté mardi 28 mai dans la soirée la proposition de loi des Républicains visant à encadrer les transitions de genre chez les mineurs en France. Le texte, voté à 180 voix contre 136, prévoit ainsi l’interdiction pour les mineurs des traitements hormonaux et le contrôle strict des prescriptions de “bloqueurs de puberté”. Ces molécules conduisent à la suspension du développement des caractères sexuels secondaires (poitrine, voix, pilosité) relevant du genre auquel l’enfant ne s’identifierait pas.
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Conçue pour faire chanter ensemble les peuples européens, l’Eurovision est devenue une machine de guerre pilonnant les mœurs et les goûts de nos contemporains, constate notre chroniqueur. "Une sorte de pride pour tous". Comment en est-on arrivé là ?
Avec sa jupette satinée saumon et sa veste à plumes froufroutée, le chanteur suisse Nemo ne ressemblait guère à l’image virile que je me faisais du capitaine du Nautilus, personnage en barbe et vareuse imaginé par Jules Vernes. Certes, je ne voguais pas dans Vingt mille lieues sous les mers mais dans les abysses culturelles de l’Eurovision. “Ce n’était pas un concours de talent musical, mais un concours de laideur, de vulgarité, de grossièreté, d’exhibitionnisme.” Ses mots de Ségolène Royal sont relayés par Têtu, le magazine des exégètes du sexe. À la vérité, l’égérie du socialisme chic exagère. L’événement n’était pas grossier mais hyper soigné, avec des performances scéniques au top niveau et des chorégraphies millimétrées, le tout sublimé par une réalisation télévisuelle parfaite. Samedi 11 mai, 160 millions de téléspectateurs ont regardé la finale de l’Eurovision, soit une 1 personne sur 4 sur notre si Vieux continent.
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La 64e édition du Pèlerinage Militaire International (PMI) s'est tenu à Lourdes du 24 au 26 mai. 15.400 pèlerins de 37 nationalités différentes étaient au rendez-vous dans la cité mariale. Un moment riche en émotions avec un record atteint pour le nombre de baptême
15.400 pèlerins de 37 nationalités différentes étaient au rendez-vous, cette année, au “PMI” à Lourdes. Le Pèlerinage Militaire International est un moment de fraternité pour ces soldats qui se rencontrent autour de la Vierge Marie pour prier mais également pour partager des moments forts à l’image des activités sportives mélangeant les blessés de guerre et des soldats valides. La messe du samedi 25 mai au matin a vu se succéder 180 baptêmes et 380 confirmations de soldats français. Un record pour le PMI. Cette 64e édition du pèlerinage rappelle ces paroles de saint Jean Paul II : “Vous êtes les sentinelles de la paix.”
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