Actualités
Les dernières informations.
Pour neutraliser leurs adversaires, les militants de l’euthanasie pratiquent parfois la méthode douce, qui n’est pas la moins efficace. Ils usent du sourire, dans son "sirupeux redoutable", remarque l’écrivain Henri Quantin, pour installer leur colonisation idéologique par les bons sentiments.
Face aux empêcheurs d’euthanasier en toute bonne conscience, ceux qui exercent le magistère médiatique utilisent tantôt la méthode forte, tantôt la méthode douce. La méthode forte, qui ne dépasse pas trop le domaine verbal pour l’instant, est de loin la plus en usage. Pour en avoir un aperçu, il suffit d’allumer France Inter, où elle tourne à plein régime et à visage découvert : ricanements au seul nom d’un adversaire non aligné, citations discréditées immédiatement par les réactions gloussantes des chroniqueurs, interruption agressive de tout invité qui ne répond pas dans le sens du vent progressiste.
Suite de l'article sur Aleteia.
Pour Laurent Stalla-Bourdillon, prêtre-enseignant au Collège des Bernardins, "être suicidé" par un professionnel de santé ou par un parent est humainement inconcevable. Tôt ou tard, ce droit à l’euthanasie se transformerait en droit à euthanasier.
Selon certaines personnes, la cause de l’euthanasie serait pour notre époque ce que fut le combat pour l’IVG en 1975 : « Les forces qui s’opposent au droit à une aide médicale à mourir rappellent celles qui, il y a cinquante ans, s’opposaient à l’IVG » lit-on dans une tribune publiée dans Le Monde. C’est en partie vrai puisque donner la mort devient une fois de plus la solution. « Ce qui est annoncé ne conduit pas notre pays vers plus de vie, mais vers la mort comme solution à la vie » réagissait le président de la Conférence des évêques de France, Mgr Éric de Moulins-Beaufort. Il s’agit d’abréger la vie d’une personne malade et de supprimer la vie d’un enfant à naître. Au terme ou au commencement, la vie physique d’une personne humaine est pourtant bien plus qu’une question de biologie. C’est pour toute la communauté humaine, une question spirituelle !
Suite de l'article sur Aleteia.
Trois moines coptes orthodoxes ont été tués à l'arme blanche dans leur monastère en Afrique du Sud, le 12 mars 2024. Le lendemain, à plusieurs centaines de kilomètres, le père William Banda, prêtre catholique zambien, a été sauvagement assassiné de deux balles dans la tête dans son église.
Trois moines coptes orthodoxes et un prêtre catholique ont été sauvagement tués en Afrique du Sud en l’espace de quelques jours. Les trois moines ont été retrouvés sans vie le 12 mars dans leur église à Cullinan, petite ville située à environ 50 km au nord-est de la capitale de Pretoria, couverts de blessures à l’arme blanche.
Suite de l'article sur Aleteia.
Les réformes "sociétales", comme celle annoncée par le président Macron sur "l’aide à mourir" au nom de la "fraternité", sont portées par une anthropologie irréaliste, décrypte l’essayiste Jean Duchesne. Cette vision de l’humain, enfermée dans le dogme arbitraire de l’autonomie de l’individu, oriente ultimement à la solitude, jusque dans la mort.
La « convergence des luttes » fait partie d’une certaine mythologie « gaucharde » : des revendications ou protestations très diverses, des conditions de travail et les salaires ou revenus, des régimes de retraites, l’écologie, de tel projet gouvernemental de réforme, des violences policières ou coloniales et, plus largement, de tout ce qui « victimise », sont censées pouvoir et même devoir se coordonner dans le cadre d’une lutte commune contre l’oppression bourgeoise, capitaliste, réactionnaire, oligarchique, élitiste, patriarcale, etc.
Suite de l'article sur Aleteia.
La présentation du projet de loi sur "l’aide à mourir" faite par Emmanuel Macron par voie de presse le 10 mars a suscité une vague de réactions au vitriol et d’incompréhension de l’Église en France. "Tromperie", "dissimulation", "absence de fraternité"… Les évêques n’ont pas mâché leurs mots.
Les mots peuvent parfois manquer sous le choc d’un événement, le poids d’une décision. La présentation des contours du projet de loi sur « l’aide à mourir » faite par le président de la République en personne ce dimanche 10 mars dans un entretien publié dans La Croix et Libération aurait pu laisser sans voix. Mais face à cet effroyable texte, les évêques de France ont choisi leurs mots avec précision et sans détour. Des mots à la hauteur des enjeux. « Ce qui est annoncé ne conduit pas notre pays vers plus de vie, mais vers la mort comme solution à la vie », a réagi avec force Mgr Éric de Moulins-Beaufort, le président de la Conférence des évêques de France (CEF) dans La Croix. Et l’évêque de reprendre : « Appeler ‘loi de fraternité’ un texte qui ouvre à la fois le suicide assisté et l’euthanasie est une tromperie. Une telle loi, quoi qu’on veuille, infléchira tout notre système de santé vers la mort comme solution. »
Suite de l'article sur Aleteia.
Actuellement en cours de production, le film le “Triomphe du cœur” consacré aux derniers instants de saint Maximilien Kolbe et de ses compagnons à Auschwitz dans le bunker de la faim devrait sortir en août 2024 aux États-Unis. Un témoignage bouleversant qui gagne encore en saveur quand on connaît l’origine du projet et les petits “miracles” qui ont permis le bon déroulement du tournage.
Porter sur grand écran les derniers instants de saint Maximilien Kolbe ne manque pas d’ambition. Prêtre franciscain polonais et déporté à Auschwitz, ce dernier s’offre à la place d’un père de famille en 1941 en représailles d’une évasion. Choisissant librement d’être condamné avec 9 autres prisonniers, il est enfermé dans un bunker pour y mourir de faim. Il meurt le dernier après avoir réconforté ses compagnons. C’est pourtant le pari que s’est lancé le scénariste et réalisateur américain Anthony d’Ambrosio. Intitulé “Triumph of Heart”, “Le Triomphe du cœur”, le film est actuellement en post-production et devrait sortir en août 2024 au cinéma aux États-Unis. Et si une chose est sûre, c’est que l’aboutissement de ce long-métrage tient à de nombreux petits “miracles” !
Suite de l'article sur Aleteia.
Un projet de loi ouvrant une "aide à mourir" sera présenté en avril en Conseil des ministres, en vue d'une d’une première lecture en mai à l'Assemblée nationale, a annoncé Emmanuel Macron ce dimanche 10 mars dans un entretien accordé à "La Croix" et "Libération".
Vers le franchissement de l’ultime ligne rouge ? Emmanuel Macron a annoncé ce dimanche 10 mars qu’un projet de loi ouvrant une « aide à mourir » sera présenté en avril en Conseil des ministres. Dans l’entretien accordé à Libération et à La Croix, le président de la République a refusé d’employer le terme de « suicide assisté » ou d’«euthanasie». « Le terme que nous avons retenu est celui d’aide à mourir parce qu’il est simple et humain et qu’il définit bien ce dont il s’agit », explique-t-il. « Le terme d’euthanasie désigne le fait de mettre fin aux jours de quelqu’un, avec ou même sans son consentement, ce qui n’est évidemment pas le cas ici. Ce n’est pas non plus un suicide assisté qui correspond au choix libre et inconditionnel d’une personne de disposer de sa vie. » Le gouvernement a donc privilégié une expression qui n’est autre qu’une coquille vidée de son sens mais qui n’enlève en rien la réalité glaçante qu’elle traduit. Ce projet de loi a pour objectif de permettre de donner la mort en toute légalité.
Suite de l'article sur Aleteia.
Les évêques mexicains ont invité les trois candidats à l’élection présidentielle à signer ce lundi 11 mars l’"Accord citoyen pour la paix au Mexique". Il s’agit d’un document porté par l’Église catholique au Mexique afin que les candidats s’engagent plus concrètement face à la violence qui ronge le pays.
Confrontés à une violence récurrente, permanente et extrême, les Mexicains sont à bout. Leur pays, le Mexique, est gangréné par une violence inouïe liée au trafic de drogue. Une situation que l’Église catholique a décidé d’inviter avec force dans la campagne présidentielle. Alors que le pays doit élire en juin son prochain président, les évêques du pays ont invité les trois candidats à l’élection présidentielle, Claudia Sheinbaum, Xóchitl Gálvez et Jorge Álvarez Máynez, a une rencontre ce lundi 11 mars. L’objectif : leur présenter l’«Accord citoyen pour la paix au Mexique », un document porté par l’Église comprenant quatorze propositions concrètes pour lutter contre la violence.
Suite de l'article sur Aleteia.
Sacrée championne du monde du saut en hauteur en salle le 3 mars 2024 et favorite dans sa discipline pour la médaille d'or aux Jeux olympiques de Paris, Nicola Olyslagers, n'hésite pas à crier haut et fort son amour pour le Christ.
Elle est vice-championne olympique de saut en hauteur, médaillée de bronze aux championnats du monde d’athlétisme de Budapest, et depuis le 3 mars 2024, championne du monde de saut en salle. Favorite dans sa discipline pour la médaille d’or aux Jeux olympiques de Paris, elle affiche un sourire à toute épreuve et ouvre les bras à chacune de ses victoires, laissant apparaître sur son poignet une inscription à la gloire de Dieu. Elle, c’est Nicola Olyslagers, jeune athlète australienne de 25 ans au palmarès déjà extraordinaire, qui a décidé de mettre sa passion au service du Christ.
Suite de l'article sur Aleteia.
Le père Erwan de Kermenguy, curé de la paroisse Notre-Dame de Tout-Remède en pays de Landerneau, commente les lectures du 4e dimanche de carême. L’évangile de la guérison de l’aveugle-né indique trois directions : oser changer nos manières de faire pour accueillir l’action de Dieu, construire avec les catéchumènes, revenir à la mission même de l’Église.
« Réveille-toi ô toi qui dort ! Et le Christ t’illuminera. » (Eph 5, 14) C’est une grande joie de vivre la messe de Lætare avec nos frères catéchumènes, dans ce temps qui les conduit dans la lumière vers le baptême. Car c’est le Christ qui veut les illuminer, les relever d’entre les morts, comme il a rendu la vue à l’aveugle dans l’évangile.
Suite de l'article sur Aleteia.
Le Conseil supérieur des programmes a publié le 5 mars un projet de programme d’éducation à la sexualité, de la maternelle à la terminale, qui pourrait être mis en oeuvre dès la rentrée 2024. S'il se soucie de la notion d'intimité et des ravages de la pornographie, il fait figurer les parents au second plan et fait peu de cas de la liberté de conscience sur le modèle familial.
Maintes fois décalé, le projet de programme d’éducation à la sexualité a finalement été publié le 5 mars sur le site du Conseil supérieur des programmes. L’instance indépendante avait été saisie en juin 2023 par Pap Ndiaye pour élaborer un programme d’éducation à la sexualité, « comme il en existe pour toutes les matières », avait souligné sur X l’ancien ministre de l’Éducation nationale.
Le défi était de taille, et le résultat très attendu, aussi bien par les associations de protection de l’enfance et de la famille que celles qui militent pour la défense des droits LGBT. Il en ressort quelques points positifs : l’accent est largement mis sur l’apprentissage de l’intimité, de la pudeur, et sur le respect mutuel. Une place importante est donnée à la découverte du corps et aux émotions. Soulignons aussi la volonté de lutter contre l’exposition des enfants et des jeunes à la pornographie, ainsi que le souci d’accompagner l’usage des réseaux sociaux.
Suite de l'article sur Aleteia.
L’avortement dans la Constitution est présenté comme un progrès inédit. Mais l’Histoire se répète, souligne la philosophe Jeanne Larghero. Les catholiques ont raison de rappeler que l’élimination institutionnelle des plus faibles n’est pas une nouveauté, la société finira par l’admettre.
Les lois dites « sociétales » s’enchaînent et les catholiques semblent condamnés à assister, impuissants, à la prétendue évolution des mœurs et des comportements. Sont touchés le début et la fin de vie, le mariage, l’identité sexuelle, comme si les libertés individuelles étaient un absolu devant lequel la société tout entière est sommée de s’incliner. Est-ce le sens de l’Histoire ? Ce sens est-il irréversible ?
Suite de l'article sur Aleteia.
Pour le juriste Philippe Pouzoulet, ancien magistrat administratif, les parlementaires ont méconnu les limites du pouvoir constitutionnel en transgressant les normes supra-constitutionnelles comme le principe d’humanité, encore reconnu par le code civil.
La révision constitutionnelle que vient d’adopter le Congrès réuni à Versailles le 4 mars est désastreuse dans la mesure où elle consacre presque cinquante ans de dénaturation de la législation sur l’avortement, conçue à l’origine comme étant seulement la dépénalisation d’un acte intrinsèquement mauvais. Mais cette révision méconnaît également les limites du pouvoir constitutionnel du peuple qu’il exerce par ses représentants ou par le référendum. En effet, la norme constitutionnelle n’est jamais une norme absolue. Le peuple n’est pas un souverain absolu.
Suite de l'article sur Aleteia.
Alors que la constitutionnalisation de l'IVG a été votée lundi 4 mars, deux ministres, Eric Dupont Moretti, le garde des Sceaux et Catherine Vautrin, ministre de la Santé, ont successivement assuré que la double clause de conscience, spécifique à l'IVG, ne serait pas remise en cause. Certains en font pourtant déjà leur nouveau combat.
Après l’inscription dans la Constitution de « la liberté garantie à la femme d’avoir recours à une interruption volontaire de grossesse (IVG) » votée le 4 mars 2024, des voix se sont élevées, notamment chez des élus de La France Insoumise (LFI) et d’Europe Écologie-les Verts (EELV), pour réclamer la suppression de la double clause de conscience, spécifique à l’IVG et établie par la loi Veil. Interrogée à ce sujet sur France 2, le jeudi 7 mars, Catherine Vautrin, la ministre du Travail et de la Santé, a néanmoins affirmé, « je ne toucherai pas à la clause de conscience des médecins », précisant que les médecins pouvaient toujours orienter leurs patientes vers un autre praticien.
Suite de l'article sur Aleteia.
La croix des Invalides a été effacée de l’affiche des Jeux olympiques, et François Morinière, membre fondateur du programme « Holy Games » lancé par l’Église catholique à l’occasion des JO, le regrette vivement. Pour autant, assure-t-il, la croix du Christ sera présente au cœur de l’événement.
« Stat crux dum volvitur orbis », autrement dit « La croix demeure tandis que le monde tourne » est la célèbre devise de l’ordre des Chartreux, symbole du temps éternel, du silence, de l’effacement du monde pour le don absolu à Dieu. Cet effacement est justement au cœur d’une polémique née cette semaine avec la sortie des affiches officielles des Jeux Olympiques de Paris 2024. Réalisées par un jeune artiste français, Ugo Gattoni, elles évoquent de manière joyeuse à la façon d’un parc d’attraction les sites olympiques mélangés à des monuments parisiens. À la manière des bandes dessinées « Où est Charlie ? », les affiches fourmillent de personnages, de détails, de clins d’œil.
Suite de l'article sur Aleteia.
Dans l'État d’Assam, situé au nord-est de l'Inde, des écoles chrétiennes sont visées par des plaintes de groupes nationalistes hindous qui exigent le retrait de tout symbole chrétien.
La persécution contre les chrétiens en Inde ne semble décidément pas faiblir. Dans l’État d’Assam, situé au nord-est du pays, plusieurs écoles gérées par l’Église catholique se trouvent dans la tourmente après qu’un dirigeant hindou a décidé d’intenter contre elles une action en justice. La raison : les écoles en question ont refusé de retirer leurs symboles chrétiens malgré les menaces de groupes hindous. Le 7 février 2024, le groupe Kutumba Surakshya Parishad avait posé un ultimatum de quinze jours à toutes les écoles chrétiennes de l’État, leur intimant l’ordre de supprimer les croix, les icônes et l’ensemble des habitudes religieuses (prières, bénédicités, etc.), ainsi que les chapelles scolaires. Les prêtres et les religieuses ont été sommés de ne plus porter leur habit religieux mais des « vêtements normaux ».
Suite de l'article sur Aleteia.
Créée en 2019, la carte interactive répertoriant un maximum de pèlerinages des hommes, époux et pères de famille vient d’être actualisée. Elle recense pas moins de 81 initiatives en 2024. Année après année, les pèlerinages des pères, à la suite de saint Joseph, se fédèrent.
En 1976, ils étaient deux hommes à marcher vers Cotignac pour rendre grâce d’une naissance qui s’annonçait difficile et qui s’est pourtant bien déroulée. Ils sont désormais plus de 10.000 hommes, répartis sur 80 pèlerinages, à marcher à la suite de saint Joseph. De Cotignac à Montligeon, du Mont-Saint-Michel à Vézelay, de Rocamadour à Banneux (en Belgique), de Dakar à la Réunion, nombreux sont les sanctuaires qui accueillent, principalement entre le mois de mars et le mois de juillet, ces hommes en quête de fraternité et de spiritualité.
Suite de l'article sur Aleteia.
L'association "Avancer, Vivre et Ecouter -AVE- Marie qui défait les nœuds" propose cette année quatre retraites, en France et en Allemagne (retraite prêchée en français), pour se mettre sous le regard de la Vierge et déposer à ses pieds les difficultés qui étouffent la vie quotidienne.
Elle est belle celle, qui, patiemment et de ses mains délicates, défait les nœuds de ce ruban de satin blanc. « Par sa désobéissance, constatait saint Irénée de Lyon dans son Traité contre les Hérésies, Ève a créé le nœud qui a étranglé le genre humain. Par son obéissance, Marie l’a dénoué. Ce que la vierge Ève a noué par son incrédulité, la Vierge Marie l’a dénoué par sa foi » (III, 22 – 4). C’est à Augsbourg, en Bavière, non loin de Munich, qu’est née cette dévotion à la sainte Mère de Dieu si chère au pape François, héritée de ce tableau baroque que Johann Georg Schmidtner peint en 1700 pour rendre grâces après un naufrage familial évité.
Suite de l'article sur Aleteia.
Enlèvements, actes de vandalisme, saccages, affrontements multiples, arrestations arbitraires… Haïti subit ces dernières semaines une recrudescence de la violence et de l’insécurité. "Tout le monde a peur, même les religieux, explique Max Leroy Mésidor, archevêque de Port-au-Prince, dès qu’on sort à Port-au-Prince, on est en danger."
Le Conseil de sécurité de l’ONU a récemment alerté sur la situation « critique » en Haïti où un chef de gang a menacé de déclencher une « guerre civile » si le Premier ministre Ariel Henry, de plus en plus sous pression, ne démissionnait pas. Dans ce contexte de violence et alors que trois religieuses ont à nouveau récemment été enlevées cette semaine, Mgr Max Leroy Mésidor, archevêque métropolitain de Port-au-Prince et président de la Conférence des évêques d’Haïti, a partagé ce jeudi 7 mars avec l’Aide à l’Église en détresse (AED) ses inquiétudes. « Tout le monde a peur, même les religieux. Dès qu’on sort à Port-au-Prince, on est en danger », explique-t-il. « Le séminaire se trouve dans un quartier où il y a beaucoup de tirs et d’affrontements. Les gangs vont jusqu’à rentrer dans les églises pour kidnapper les gens. Il y a des paroisses fermées car les curés ont dû partir. La semaine dernière, un curé a dû partir avec quelques fidèles, ils ont marché 15 heures. »
Suite de l'article sur Aleteia.
Le représentant du Saint-Siège à l’ONU réaffirme la position de l’Église catholique sur les drones : si la technologie n’est pas mauvaise en soi, rapporte le géopoliticien Jean-Baptiste Noé, elle doit toujours rester sous le contrôle humain.
Ce qui était il y a encore dix ans une possibilité mâtinée de science-fiction est désormais un élément incontournable des guerres modernes : les drones sont abondamment employés, pour des tâches diverses, allant de l’attaque à la surveillance. Les armées disposent de drones terrestres et aussi de drones sous-marins. De quoi suppléer les militaires, pallier le manque de soldats, économiser des vies humaines, mais aussi accroître la puissance du feu et décorréler l’action humaine de ses conséquences.
Suite de l'article sur Aleteia.
- Situation à Gaza : les responsables religieux chrétiens de France appellent au cessez-le-feu et à la libération des otages
- 80.000 hommes, un chapelet à la main, c’est possible !
- IVG dans la Constitution : l’inquiétant « message universel » que la France prétend envoyer
- Clervie, convoyeuse de l’air, risquait sa vie pour le ciel
- IVG/révision de la Constitution : appel au jeûne et à la prière
- IVG dans la Constitution : l’étape ultime du Congrès à Versailles
- L’avortement est toujours un échec
- Appel urgent de Mgr Rey sur la constitutionnalisation de l'IVG
- « Comme des sentinelles du Seigneur », des religieuses contemplatives en plein cœur de Paris
- [HOMÉLIE] Le sanctuaire de notre cœur et les marchands du Temple
- La dévotion méconnue des sept dimanches de saint Joseph
- Une avancée historique pour les chrétiens du Pakistan ?
- « Aujourd’hui, le pire danger est l’idéologie du genre », confie le pape François
- Colonisation idéologique, liberté religieuse… la charge du Saint-Siège à l’ONU
- Igor, séminariste atteint d’un cancer, inonde Instagram de son espérance
- IVG dans la Constitution : des réactions rares mais courageuses
- Guerre en Ukraine : que signifie « aimer son ennemi » pour le Vatican ?
- IVG dans la Constitution : le vote du Sénat ouvre la voie au Congrès
- « Après la croix, il y aura la résurrection », le douloureux quotidien des catholiques burkinabés
- Écoles, paroisses… Des Parisiens se mobilisent pour faire échec à un PLU qui les inquiète