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Que répondre aux violences politiques enracinées dans la peur, dont l’affrontement rend le débat impossible ? Le père Benoist de Sinety rappelle l’un des messages de Françoise Hardy : sans espoir nous ne sommes rien, l’amour est plus fort que la mort.
Dans les années 1960, le magazine américain Rolling Stones publia la liste des 200 plus grands chanteurs dans le monde. Un seul Français figurait au palmarès, à la 162e place. Il s’agissait d’une femme, Françoise Hardy, qualifiée par la rédaction de « superstar internationale ». Compositrice, musicienne, chanteuse, auteure : la silhouette élégante, la voix profonde, la présence rare et toujours distinguée, elle chantait avec mélancolie et romantisme le possible du bonheur et l’espoir d’un demain malgré les souffrances et la mort.
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KTO diffuse pour la première foi à la télévision ce long métrage, sorti en salle, d’Arnaud Fournier Montgieux.
On découvre la communauté des Franciscains du Bronx à travers le témoignage de François, un jeune franciscain venu de France. Sa mission l’amène à rencontrer de nombreuses victimes de la pauvreté et de la misère comme Roberto, alias « Touch ». Adolescent quand il commet ses crimes, il grandit en prison. On découvre aussi Ryan, que son addiction à l’héroïne à conduit au vol et à la violence. Leurs destins étroitement liés à celui du ghetto américain de Newark, se croisent. C’est là aussi qu’ils ont rencontré frère François. Ancien ingénieur ferroviaire, « Brother » François a décidé de rejoindre cette communauté après avoir récité une neuvaine à Saint Jude laissant derrière lui une vie où, selon ses propres termes, il « vasouillait » sans but. Son récit, teinté d’un humour bienveillant, s’égraine tout au long du film lui donnant sa cohérence et sa profondeur. En 2022, « Brother » a reçu l’Ichtus d’or à l’occasion de la 4e édition du Festival du Cinéma Chrétien de Bayonne.UNE PRODUCTION SAJE/GENRE HUMAIN 2021 en partenariat avec KTO - Réalisée par Arnaud Fournier-Montgieux.
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Suite à la reconnaissance d'un second miracle, Carlo Acutis va devenir saint. Cette prière permet de lui demander des grâces pour soi ou pour ses proches.
La reconnaissance d’un deuxième miracle attribué à l’intercession de Carlo Acutis, le “geek de Dieu”, fin mai 2024, ouvre la voie à sa canonisation. Le pape François doit annoncer la date de sa canonisation le 1er juillet prochain lors d’un consistoire “ordinaire” prévu ce jour-là. Nul doute que le jeune bienheureux italien, décédé en 2006 à 15 ans des suites d’une leucémie, se montre attentif aux suppliques de ceux qui le prient.
Sœur Pia, religieuse polonaise des Franciscaines servantes de la Croix, travaille depuis septembre 2023 dans un centre éducatif pour enfants aveugles à Kibeho, au Rwanda. "Nous nous sentons nécessaires ici. Notre mission est d'aider les plus pauvres", confie-t-elle à Aleteia. Rencontre.
Au Rwanda, les Franciscaines servantes de la Croix sont au service des personnes aveugles et malvoyantes depuis 2006. C’est à Kibeho, lieu connu pour les apparitions mariales reconnues par l’Église en 2008, qu’une école et un centre éducatif gérés par les sœurs ont accueilli le premier groupe d’enfants. L’école, créée un an plus tard, est devenue la première école pour aveugles au Rwanda. Elle accueille 195 jeunes âgés de 6 à 24 ans, qui viennent de tout le Rwanda. Dans un pays où cécité rime avec malédiction, les jeunes aveugles sont marginalisés et n’ont souvent aucune perspective d’avenir. Plusieurs d’entre eux sont également atteints d’albinisme, et s’en trouvent encore plus exclus. Le centre, palliant à cette exclusion, est devenu un véritable oasis pour ces jeunes. “Avant sa création, les aveugles étaient pratiquement privés de possibilités d’éducation”, explique sœur Pia à Aleteia Pologne.
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Le pape François a tenu à alerter les chefs d’État lors du G7 à Bari (Italie) ce vendredi 14 juin sur les dangers d’une intelligence artificielle (IA) non ordonnée vers le "bien commun".
À Bari, ce 14 juin 2024, dans un long discours remis aux chefs d’État et de gouvernement venus participer au sommet du G7, le pape François alerte sur les dangers d’une intelligence artificielle (IA) non ordonnée vers le “bien commun”. Pour le pape argentin, il est urgent que les dirigeants du monde passent à “l’action politique” pour encadrer cet “outil extrêmement puissant”.
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La dévotion au Sacré-Cœur a été liée, pendant de nombreux siècles, aux cinq plaies du Christ. Voici l'une de ses plus anciennes représentations.
La dévotion au Sacré-Cœur de Jésus remonte aux premiers siècles du christianisme. Mais elle ne devint populaire qu’au XVIIe lorsque Marguerite-Marie Alacoque reçut des révélations privées. Jusque-là, à l’exception de sainte Mechtilde (1298) et de sainte Gertrude (1302), la dévotion des chrétiens se portait plutôt sur les “cinq plaies du Christ”. C’était dû, notamment, à un regain d’intérêt pour la Passion du Christ suite au retour de Terre sainte de nombreux croisés. Les chrétiens du Moyen Âge prenaient conscience de la profondeur de l’amour de Jésus à travers les différentes plaies qui lui furent infligées, notamment celle au flanc droit qui lui perça le cœur.
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Voici une méthode infaillible que le pape François suggère aux catholiques depuis plus de vingt ans.
Quand il était archevêque de Buenos Aires, François aimait bien écrire des intentions ou des prières. Maintenant qu’il est Pape, rien n’a changé mais ce qu’il aime par dessus tout, c’est suggérer des méthodes toutes simples pour les composer nous-mêmes. Il y en a une en particulier devenue très populaire, qu’il a révélée dès les premiers jours de son pontificat. Elle continue de circuler sur le web : la méthode des cinq doigts. On peut s’en servir à tout moment — à la messe, ou chez soi, au travail, pour remercier ou demander une grâce… — en s’abandonnant au Seigneur avec confiance. La méthode est à l’image du style de François dont la règle d’or pour bien prier est : simplicité, humilité, compréhension, attention.
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Après le "green washing", qui consiste à donner des entreprises une image écologique trompeuse, voici le "fraternity washing" qui maquille l’acte euthanasique en acte fraternel. Le chef d’entreprise Hubert de Boisredon dénonce l’hypocrisie du texte de loi d’"aide à mourir" désormais suspendu, mais dont le projet reste menaçant.
Au moment où l’attention des Français était tournée vers les célébrations du Débarquement du 6 juin 1944 et par la perspective des élections européennes, les députés ont adopté l’article 5 du projet relatif à l’accompagnement des malades et de la fin de vie, dans une assemblée pratiquement vide. L’article voté par 88 voix contre 50 introduit, pour la première fois dans la loi, la possibilité de demander une “aide à mourir”. Il en donne la définition : “L’aide à mourir consiste à autoriser et à accompagner une personne qui en a exprimé la demande à recourir à une substance létale.” L’article ainsi adopté dispose que “la personne s’administre une substance létale ou, lorsqu’elle n’est pas en mesure physiquement d’y procéder, se la fasse administrer par un médecin ou un infirmier.”
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Le 7 juin 2024, un texte de loi réintroduisait la peine de mort volontaire en France. Le père Laurent Stalla-Bourdillon, directeur du Service des professionnels de l’information, raconte comment deux jours plus tard, la dissolution de l’Assemblée nationale empêche temporairement l’étrange capitulation devant l’idéologie autoritaire de l’individualisme triomphant.
Les élections européennes de 2024 auront eu raison de l’Assemblée nationale. Le président Emmanuel Macron en a annoncé la dissolution au soir du scrutin qui ne concernait pourtant que le parlement de Bruxelles. Le résultat de l’élection avait valeur de vote sanction pour la politique du gouvernement, mais aussi pour l’invraisemblable chaos de l’Assemblée nationale elle-même. Le retour des Français aux urnes était impossible à esquiver. Que s’est-il passé le 9 juin 2024 ?
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Inventer des mots-trompeurs pour forcer l’esprit à admettre une vérité et son contraire, telle est une marque de notre époque où l’on veut vous faire croire que l’on peut "tuer par amour". Notre chroniqueuse Blanche Streb dénonce ce double-langage assumé : la vraie compassion ne supprime pas celui qui souffre.
Qui peut refuser de voir que nous sommes immergés dans ce temps de la “post-vérité” ? Celui où l’idée serait supérieure à la réalité, où les opinions, les idéologies, les émotions, les croyances finissent par l’emporter sur la réalité des faits, des choses et des événements. Nous vivons une époque où la vérité, ou plutôt la quête de la vérité, n’est plus aimée ni recherchée. C’est comme si la vérité ne comptait plus. Nous baignons dans l’individualisme et le relativisme. “Moi-je.” “À chacun sa vérité.” Tout est relatif. Il n’y aurait plus ni bien ni mal, ni vérité absolue, objective. Et cela contribue largement au morcellement de la société, tant le chacun sa vérité nourrit le chacun pour soi.
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Emmanuel Macron a annoncé le 9 juin au soir dans la foulée des résultats aux élections européennes la dissolution de l’Assemblée nationale. Une décision qui entraine la suspension de tous les textes en instance. Dont le projet de loi sur la fin de vie.
Coup de tonnerre. Après la large victoire de Jordan Bardella (RN) devant Valérie Hayer (Renaissance) et Raphaël Glucksmann (PS) aux élections européennes, Emmanuel Macron a annoncé dans une allocation télévisée ce dimanche 9 juin au soir la dissolution de l’Assemblée nationale. “J’ai décidé de vous redonner le choix de votre avenir par votre vote”, a déclaré le président de la République. Emmanuel Macron, qui a consulté la présidente de l’Assemblée nationale et le président du Sénat, a choisi de dissoudre l’Assemblée nationale et un décret devrait paraître dans les prochaines heures pour organiser la tenue d’élections législatives dès le 30 juin.
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Après la reconnaissance d'un second miracle qui ouvre la voie à la canonisation de Carlo Acutis, sa mère, Antonia Salzano, a exprimé sa joie à Aleteia.
“Nous sommes heureux et nous nous réjouissons pour l’Église, car Carlo a de nombreux fidèles dans le monde entier, en particulier beaucoup de jeunes”, a déclaré Antonia Salzano à Aleteia. Le 23 mai, le Dicastère pour la cause des saints a annoncé qu’un deuxième miracle attribué à l’intercession de Carlo Acutis avait été reconnu. Le pape François devrait annoncer officiellement la date de sa canonisation le 1er juillet 2024.
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Une messe pour la paix s’est tenue ce samedi 8 juin 2024 à la cathédrale de Bayeux. En présence de 600 scouts du diocèse, Mgr Jacques Habert a dévoilé une plaque en mémoire de 138 prêtres, séminaristes et religieuses du diocèse victimes de la guerre. Reportage.
Interminable et presque insoutenable, la liste s’écoule. Un à un, les noms de 99 religieuses, 19 prêtres et 20 séminaristes sont lus au pupitre tandis qu’un scout, garçon ou fille, dépose un lumignon au pied de l’autel. “Pendant cette cérémonie, nous prenons la mesure de l’hémorragie qu’a connue le diocèse de Bayeux-Lisieux pendant la Seconde Guerre mondiale”, explique Mgr Habert. “Ils sont morts pour la France, ils sont morts pour leur fidélité à leur foi et nous rendons hommage aujourd’hui à tous ces témoins.” Les portraits de certains d’entre eux ont été déposés sur les marches de l’autel, les rendant proches et incarnés. L’émotion étreint l’assemblée : jeunes de tous les mouvements scouts du diocèse, familles et congrégations religieuses, laïcs, prêtres, diacres et séminaristes.
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Dans son hymne à la charité, saint Paul décrit quinze caractéristiques de l’amour véritable. Quinze qualités à mettre en œuvre au quotidien (envers son conjoint, ses enfants, son prochain…) pour aimer comme Dieu aime.
L’amour jaillit du cœur de Dieu pour devenir l’horizon de toute vie humaine : « Aimons-nous les uns les autres, puisque l’amour vient de Dieu » (1 Jn 4, 7), engage saint Jean. Chacun est appelé à aimer, à l’instar de la découverte de sainte Thérèse de Lisieux : “Ma vocation, enfin je l’ai trouvée, ma vocation, c’est l’amour”. L’amour s’applique à tous : à soi-même, à son prochain, à Dieu. Mais reste à savoir ce qu’est véritablement l’amour authentique.
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Religieux dominicain du couvent de Bordeaux, le frère Jean-Thomas de Beauregard commente l’évangile du 10e dimanche du temps ordinaire. Se tromper ou être trompé, y compris en blasphémant Jésus, est pardonnable, mais pourquoi le blasphème contre l’Esprit saint ne l’est pas ?
Le discernement des esprits est un art difficile. Face à un phénomène spirituel spectaculaire, comment discerner si c’est l’œuvre du démon ou l’œuvre de Dieu ? Les scribes n’ont pas tort de s’interroger (Mc 3, 22)… Le discernement est d’autant plus difficile que Satan, créature spirituelle, est le “singe du bon Dieu”, qui imite les manières de faire de Dieu et des saints. Les vies de saints sont d’ailleurs remplies d’histoires où le Diable se fait passer pour un messager de Dieu, ou pour le père abbé lorsque l’histoire se passe dans un contexte religieux. On voit aussi bien souvent des supérieurs religieux ou conseillers spirituels prétendre gouverner directement par inspiration divine : “L’Esprit saint m’a dit que…”, “j’ai vraiment dans le cœur que tu dois…”, jusqu’au terrible et plus direct : “Tu ne te reçois pas assez de moi.” Là aussi, ils singent les manières de faire des saints, mais c’est bien le démon qui est à l’œuvre.
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Soutien historique de l’Union européenne, l’Église se trouve désormais gênée aux entournures par le sécularisme volontaire des institutions communautaires. Pour l’historien Paul Airiau, les évêques sont d’autant plus embarrassés qu'ils n’ont pas vu les effets du retour de la nation comme communauté politique de destin.
Peut-être ne le sait-on pas, mais même l’Église a été saisie par la constitution technocratique des instances européennes. Elle s’est en effet dotée en 1980 de la Commission des épiscopats de la communauté européenne (COMECE), qui assure institutionnellement un “dialogue” avec l’Union européenne, conformément à l’article 17.3 du traité sur le fonctionnement de l’UE (un des traités de Rome de 1957). Celle-ci, comme à chaque élection européenne, a lancé un appel à la participation aux élections européennes.
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La Vierge Marie, loin de garder pour elle ses prérogatives, désire au contraire que nous parvenions à la même béatitude qu’elle. Mère très aimante, elle n’a de cesse de nous attirer à son Fils Jésus.
Dans son ouvrage intitulé “Vie intérieure de la très sainte Vierge“, devenu un classique de la spiritualité catholique, le père Jean-Jacques Olier (1608-1657) nous invite à méditer ce grand mystère : la Vierge Marie fut, de tout temps, présente aux yeux du Père Éternel. Avant tous les temps en effet, Dieu le Père prévoyait le mystère de l’Incarnation. Il avait donc déjà connaissance de l’âme de la Sainte Vierge, et de la vertu et de la grâce dont il allait la remplir.
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Face à l'aggravation de la crise humanitaire à Gaza, plusieurs associations et organisations catholiques se mobilisent pour permettre aux civils de cette enclave palestinienne de bénéficier de ressources vitales. Elles se heurtent toutefois à de nombreux obstacles qui les freinent dans leurs ambitions.
Alors que la communauté et les instances internationales ne cessent de réclamer un cessez-le-feu, l’offensive menée par Israël dans la bande de Gaza poursuit son cours, sept mois après le début du conflit. Devant l’intensification des frappes, la Cour Internationale de Justice (CIJ) a ordonné le 24 mai à Israël d’arrêter “immédiatement” son offensive militaire à Rafah où se sont réfugiés des milliers de déplacés. Face à l’urgence humanitaire, associations et ONG catholiques se mobilisent pour fournir assistance et ressources vitales aux civils.
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Premier aumônier de la France libre, le père René de Naurois a débarqué le 6 juin 1944 avec les 175 autres Français du commando Kieffer. Quatre-vingt ans plus tard, Mgr Jean-Yves Riocreux, qui l’a bien connu, a tenu à célébrer la messe avec le calice de son aîné.
Un bel hommage fraternel. Quatre-vingt ans après le Débarquement du 6 juin 1944, presque heure pour heure, Mgr Jean-Yves Riocreux a célébré la messe avec le calice du père René de Naurois. Ce courageux aumônier militaire a fait partie des 177 Français qui ont débarqué sur les plages de Normandie avec les troupes américaines et britanniques. Ancien évêque de Pontoise, Mgr Jean-Yves Riocreux l’a rencontré en 1976, alors qu’il était curé de la cathédrale de Nouméa, en Nouvelle-Calédonie.
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Les soldats l’appelaient “Mademoiselle” ou “Mam’zelle”. Geneviève de Galard, l’ange de Diên Biên Phu, s’est éteinte le 30 mai 2024 à l’âge de 99 ans, alors que la France venait de célébrer le 70eme anniversaire de la bataille de Diên Biên Phu quelques semaines plus tôt. Le 7 juin, la France lui a rendu hommage lors d’une cérémonie militaire, dans la cour d’honneur des Invalides, après la célébration de ses funérailles en la cathédrale Saint-Louis, aussi appelée “église des soldats”. Une église chère au cœur de Geneviève de Galard, comme l’a écrit elle-même l’ancienne infirmière dans son dernier adieu :
“Avant de quitter cette église des Soldats que j’ai choisie pour me marier car elle était proche du centre de rééducation où se trouvaient alors de nombreux blessés de Dien Bien Phu mes camarades, je souhaite dire, à vous tous présents : mes enfants, mes petits-enfants, mes parents et mes amis civils et militaire, un dernier adieu. Merci de l’affection que vous m’avez si souvent témoignée alors même que vous ne m’aviez peut-être jamais rencontrée. Cette affection qui m’a si souvent portée dans les moments difficiles de la vie, et aussi pour aller plus loin. Je crois que serai encore et toujours près de vous, partageant vos prières pour que vienne dans le monde le règne de son Amour. À Dieu !”
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- 138 religieux tués en 1944 dans le diocèse de Bayeux-Lisieux
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