L’amour se commande-t-il ?
Le véritable amour allie la passion du sentiment et l’engagement de la raison. C’est en aimant Dieu, source de tout amour, que l’amour se construit et s’unifie, explique le père Luc de Bellescize.
« Passez notre amour à la machine / Faites-le bouillir / Pour voir si les couleurs d’origine / Peuvent rev’nir / Est-ce qu’on peut ravoir à l’eau d’javel / Des sentiments / La blancheur qu’on croyait éternelle / Avant » (Alain Souchon). Le clip de la chanson commence dans une église devant un prêtre qui vient de recevoir l’engagement des époux à s’aimer, dans le bonheur et dans les épreuves, tous les jours de leur vie. S’engager à aimer… A priori, c’est incompatible avec l’amour.
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Euthanasie : le coup de gueule des responsables religieux
Alors que les débats sur l’euthanasie promettent de s’intensifier dans les prochains mois en France avec la présentation au Parlement d’un texte au premier trimestre 2024, plusieurs responsables religieux ont pris la plume afin de rappeler que l’euthanasie "touche à un interdit fondateur" : celui de tuer.
Promesse d’Emmanuel Macron, un texte ouvrant le droit à l’aide active à mourir devrait être présenté au Parlement au premier trimestre 2024. En attendant, les débats et offensives médiatiques en faveur de l’euthanasie se multiplient. Face à cela, une quinzaine de responsables religieux et d’intellectuels dont Éric de Moulins-Beaufort, président de la Conférence des évêques de France (CEF), Haïm Korsia, grand rabbin de France, et Chems-eddine Hafiz, recteur de la grande mosquée de Paris, ont pris la plume dans une tribune publiée sur Le Figaro le 1er novembre afin d’alerter sur l’interdit fondateur auquel touche l’euthanasie : celui de tuer. « Malgré nos différences, pour nous tous le suicide assisté et l’euthanasie touchent à un interdit fondateur, celui de donner la mort, et les légaliser affaiblirait cet interdit », martèlent-ils.
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Comment rejoindre ici-bas les défunts qui nous sont chers ?
C'est dans le Cœur de Jésus, roi et centre de tous les cœurs humains, que nous retrouvons les êtres qui nous manquent depuis leur disparition. Par la foi, ces "retrouvailles" sont encore incomplètes mais bien réelles.
Les êtres chers qui nous ont quittés, nos défunts, ne disparaissent jamais complètement. Ils continuent à vivre dans nos cœurs. « Le vrai tombeau des morts, c’est le cœur des vivants », disait Hegel. Heureusement, la foi chrétienne nous assure que nos disparus ne dépendent pas de nous pour persévérer dans l’être après la mort. Dieu, le Vivant par excellence, est la garantie de leur vie post-mortem. Nous sommes immortels parce que Dieu nous a créés et continue à nous créer et cela pour l’éternité.
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Le chapelet pour les âmes du purgatoire, pour prier pour le repos de ses proches
Cette prière peut être récitée avec un chapelet traditionnel.
Au mois de novembre, l’Église invite les fidèles à prier de manière particulière pour le repos des âmes de leurs proches défunts, et pour les âmes du purgatoire. Elle recommande de poursuivre cette prière tout au cours de l’année. Parmi les nombreuses prières pour les âmes du purgatoire proposées par l’Église, il existe un chapelet spécifique pour les défunts.
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Ces laïcs qui célèbrent des funérailles
De plus en plus de laïcs s’engagent dans l’accompagnement des familles en deuil et la célébration des funérailles en l’absence de prêtre. Un engagement essentiel qui répond à la vocation de chaque baptisé d’annoncer inlassablement l’espérance chrétienne. Témoignages.
En faisant mémoire le 2 novembre des défunts, l’Église encourage chacun à prier pour tous les morts, ceux de sa famille, ses proches, ceux que nous avons tant aimés. Ceux qui nous ont précédés et que nous rejoindrons un jour, quand l’heure de la mort sera venue. Cette mort qui fait souvent souffrir ceux qui restent mais qui est au cœur de l’espérance chrétienne. C’est la mission d’Église choisie par des milliers de laïcs en France qui s’engagent chaque année dans la pastorale des funérailles. Face à la difficulté à trouver des ministres ordonnés et en particulier des prêtres pour célébrer les funérailles, des équipes de fidèles laïcs, avec ou sans aumôniers, se sont mises en place partout en France en accord avec la Conférence des évêques de France pour accueillir les familles et célébrer les funérailles de leur défunt dans la foi de l’Église.
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Crémation : le corps est-il toujours le temple de l’Esprit ?
Après avoir honoré les saints le 1er novembre, l’Église, désormais remplie d’espérance devant cette multitude qui intercède pour elle auprès du Père, lui confie les fidèles défunts le lendemain. Parce qu’elle croit en la résurrection de la chair, l’Église reste très attachée à l’ensevelissement, qui permet aux vivants de se recueillir auprès des corps de leurs proches disparus.
65% des Français ont déjà choisi leur mode de sépulture et parmi eux 45% ont fait le choix de la crémation, a révélé une récente enquête OpinionWay réalisée en octobre 2023 pour le Service des Professionnels de l’Information (S.P.I) du diocèse de Paris. Une tendance qui interroge : quelle valeur donnons-nous à notre corps ? La manière de s’en occuper vivant en donne une idée, même inconsciente. De même, une fois que nous sommes morts. La philosophie n’a cessé de chercher à comprendre la personne humaine et l’articulation en elle de la matière et de l’esprit. Des épicuriens qui cherchent l’harmonie entre les désirs corporels et la vie de l’âme à Descartes qui établit un réel dualisme entre l’esprit et la matière en passant par Platon et le corps comme « tombeau de l’âme », aucune pensée n’est plus originale que le mystère de l’incarnation du monde chrétien.
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Toussaint : le pape François encourage à se mettre « en chemin » avec les saints
Les saints soutiennent la "grande famille en marche" qu’est l’Église, a déclaré le pape François lors de l’Angélus du 1er novembre 2023, en la fête de la Toussaint. À la suite de ces "frères et sœurs aînés", les chrétiens doivent se mettre "en chemin" avec pour objectif la "pleine communion" avec Dieu, le "paradis", a-t-il encouragé.
En la solennité de la Toussaint, pendant laquelle l’Église honore tous les saints connus et inconnus, le pape François a souligné lors de l’Angélus de ce 1er novembre l’importance de la « présence silencieuse » de ces « amis sincères » que sont les saints d’hier et d’aujourd’hui. Ils « soutiennent » dans l’épreuve, « ne manquent jamais de nous corriger » quand vient l’erreur, « veulent notre bien », « ne nous montrent pas du doigt et ne nous trahissent jamais ».
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La Toussaint, c’est aussi ma fête… si je le veux !
De toutes les fêtes de l’année liturgique, la Toussaint est celle qui, après Pâques, devrait nous toucher le plus. Si nous désirons vraiment entrer dans la danse des élus à laquelle nous sommes appelés, la Toussaint est notre fête à tous, dès aujourd’hui.
La fête de tous les saints n’est pas le grand spectacle des winners de la foi chrétienne mais la célébration de la destinée finale qui attend tous les baptisés. Tant que nous regardons la Toussaint de l’extérieur, nous avons peu de chances d’entrer spirituellement et avec profit dans le mystère que l’Église nous donne à contempler et à célébrer ce jour-là.
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L’Église n’a pas besoin de réformateurs, mais de saints
L’Église n’a pas besoin de réformateurs, mais de saints, telle était la conviction de Georges Bernanos. Comme François d’Assise qui transforma l’Église en épousant l’exact opposé de ce qui attirait ses contemporains : la pauvreté, l’humilité, la charité.
Alors que beaucoup dans l’Église ne rêvent que de réformes, sinon de révolutions, ceci de la base à la hiérarchie, que la mode contemporaine est toujours dans la fuite en avant et presque jamais dans une sage disposition à faire le guet du haut d’une tour qui embrasse les horizons et qui permet de ne pas se croire les maîtres du monde, il serait sage et judicieux de se souvenir que l’histoire de cette Église n’est pas riche grâce à ceux qui ont voulu la violenter, mais grâce à ceux qui se sont donnés à Elle, au prix parfois des sacrifices les plus absolus. La situation actuelle, préoccupante, invite à prendre distance par rapport à tous les enthousiasmes désordonnés et manipulateurs, à garder la tête froide face à ceux qui désirent déraciner, détruire, transformer pour correspondre aux critères mondains. Pour ce faire, il est bon de puiser dans le trésor de sainteté de cette Église mise à mal parfois même par ses pasteurs.
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Mgr Pizzaballa consacre la Terre sainte au Cœur immaculé de Marie
Mgr Pierbattista Pizzaballa, patriarche latin de Jérusalem, a consacré la Terre sainte au Cœur immaculé de Marie le 29 octobre lors d’une messe célébrée au sanctuaire de Deir Rafat. Un geste fort alors que le conflit israélo-palestinien se poursuit dans le sang et les larmes.
Face à l’horreur de la guerre, Mgr Pierbattista Pizzaballa a choisi d’opposer les armes de la prière et la douceur. Le patriarche latin de Jérusalem a consacré la Terre sainte au Cœur immaculé de Marie le 29 octobre lors d’une messe célébrée au sanctuaire de Deir Rafat. «À ton Cœur Immaculé nous nous confions et nous nous consacrons solennellement, ainsi que notre Église, l’humanité entière, les peuples du Moyen-Orient et, surtout, les peuples de Terre sainte, qui t’appartiennent, puisque tu les as embellis par ta naissance, par tes vertus et par tes douleurs, et que c’est de là que tu as donné au monde le Rédempteur », a-t-il déclaré. « Fais que la guerre prenne fin et que la paix se répande dans nos villes et nos villages ».
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La démarche synodale vous échappe ? L’excellent résumé du pape François
Le pape François a présidé dimanche 29 octobre la messe de clôture de la première partie romaine du Synode sur la synodalité. Dans une homélie sur l’Évangile du jour, il a rappelé, en fils de saint Ignace, le "principe et fondement" de cette démarche souvent mal comprise.
Aimer. Si le mot est parfois galvaudé, il reste au centre de la foi chrétienne. L’évangile du XXXe dimanche de temps ordinaire de l’année A le proclame solennellement. À des pharisiens venus le piéger, Jésus rappelle le sens de la Loi et des Prophètes (Mt 22, 37-39) : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toutton esprit. Voilà le grand, le premier commandement. Et le second lui est semblable :Tu aimeras ton prochain comme toi-même. »
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« Ma mort va dépendre de la manière dont je vis aujourd’hui »
À l’aube de la Toussaint et de la fête des défunts, Aleteia a interrogé le père Thierry de Lesquen qui a publié le 11 octobre 2023 un ouvrage intitulé "Préparer sa mort pour aller au paradis". Il revient sur la notion même de mort, une "promesse de vie qui n'aura pas de fin", et sur la façon dont on peut vivre dès à présent dans la perspective de l'éternité.
« Si je suis tendu vers une éternité qui est au-delà de la mort, alors mon « aujourd’hui » va changer. » Alors que l’Église s’apprête à célébrer la Toussaint et la fête des défunts, les catholiques profitent souvent de ce moment pour se rendre sur la tombe de leurs proches décédés. Un temps parfois douloureux, parfois apaisant, qui rappelle inlassablement que chacun est de passage sur terre. Pour le père Thierry de Lesquen qui a publié début octobre 2023 un ouvrage intitulé Préparer sa mort pour aller au paradis, la mort est bien présente à chaque seconde de notre quotidien. « Si je vis dans l’espérance, alors je vis tourné vers un au-delà de la mort et donc, je la traverse en quelque sorte dès à présent », explique-t-il à Aleteia.
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Vivre avec nos défunts
La fête de tous les saints précède le jour des défunts, dont le souvenir de la séparation est douloureux. Notre chroniqueuse Blanche Streb salue les paroles d’espoir d’Axelle Huber, devenue veuve après dix ans de mariage. Dans "Le Deuil, une odyssée" (Mame), celle-ci raconte son chemin de retour à la vie, dans les larmes, la foi et les joies retrouvées, ainsi que celui de ses quatre enfants.
Nous sommes à la veille de la Toussaint, une fête que j’affectionne particulièrement, sûrement comme nombre d’entre nous. La fête de tous les saints… ceux dont l’Église transmet la biographie et les écrits. Ceux, anonymes, d’une foule immense que nul ne peut dénombrer, de toutes nations, époques, peuples et langues, hommes, femmes, enfants, disparus sous la poussière des années mais dont l’empreinte et la fécondité n’aura pas moins compté dans cette histoire de l’humanité qui nous dépasse tellement. Certains d’entre eux ont changé l’histoire de manière visible pendant leur vie, d’autres encore plus depuis le paradis. Ils habitent la grande histoire et notre histoire.
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À Gaza, les enfants prient pour la fin du conflit
À Gaza, les 700 chrétiens réfugiés dans la paroisse catholique de la Sainte-Famille survivent tout en priant pour la fin du conflit israélo-palestinien. Le 28 octobre, les enfants de la paroisse ont adressé une prière à la Vierge Marie pour que vienne, enfin, le temps de la paix.
Ils sont désormais moins de 1.000 dans cette enclave placée sous le feu des bombardements. Les chrétiens de Gaza ont trouvé refuge dans leurs églises et leurs écoles, situées principalement au nord de cette région que l’armée israélienne a demandé aux Gazaouis d’évacuer. Privés d’électricité, sans eau courante, leur seul espoir réside dans l’éventuel acheminement d’une aide humanitaire qui tarde à venir. Parmi les quelque 700 chrétiens, catholiques et orthodoxes confondus, qui survivent dans les locaux de la paroisse de la Sainte-Famille, se trouve une centaine d’enfants.
20.000 Corses donnent de la voix pour la Vierge Marie
Ils ont amené le soleil de Corse et la Vierge Marie sur la scène de Paris La Défense Arena. Samedi 28 octobre, lors d'un grand concert organisé par Patrick Fiori, quelque 20.000 personnes ont entonné à l'unisson l'hymne de l'île de Beauté : "Diu vi Salvi Regina", (Que Dieu vous garde, Reine). Frissons garantis.
C’est un hymne dont la beauté est déjà bien connue, mais lorsqu’il est chanté à l’unisson par des milliers de voix, difficile de ne pas frissonner. Samedi 28 octobre, la salle Paris La Défense Arena de Nanterre accueillait le spectacle « Corse Mezu Mezu », initié par Patrick Fiori et au cours duquel se sont succédés plusieurs artistes pour un hommage à la chanson corse. Ils étaient 20.000 spectateurs, amoureux de l’île de Beauté et de ses traditions. Nombreux sont ceux qui ont traversé le petit bout de Méditerranée les séparant de la métropole pour assister à ce rendez-vous musical inédit. Mais si l’on devait retenir un seul moment de ces quatre heures de concert, c’est certainement celui-ci : l’hymne corse « Diu vi Salvi Regina », (Que Dieu vous garde, Reine), chanté par 20.000 personnes d’une seule et même voix vibrante afin d’achever la soirée en beauté.
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Émission spéciale « Synode : Et maintenant ? » sur KTO
À l'occasion de la clôture du Synode, KTO vous propose une émission spéciale depuis le plateau de Rome, afin de remettre en perspective les travaux de cette première session de travail, avant la seconde assemblée d'octobre 2024. Retrouvez sur le plateau :
Sœur Nathalie Becquart, XMCJ, Sous-Secrétaire de la Secrétairerie générale du Synode des évêques
Cardinal Fridolin Ambongo Besungu, o.f.m. Archevêque de Kinshasa (République démocratique du Congo), membre du Conseil des cardinaux
Cardinal Gérald Cyprien Lacroix, archevêque de Québec et primat du Canada, membre du Conseil des cardinaux
Mgr Matthieu Rougé, évêque de Nanterre (France)
Vidéo sur KTO.
IVG dans la Constitution : Emmanuel Macron va déposer un projet de loi au Conseil d’État
Un projet de loi constitutionnelle pour "graver dans notre Constitution la liberté des femmes à recourir" à l’IVG va être envoyé au Conseil d’État cette semaine, a annoncé ce dimanche 29 octobre Emmanuel Macron sur les réseaux sociaux.
Le président de la République a confirmé ce dimanche 29 octobre qu’il allait déposer un projet de loi constitutionnelle pour « graver dans notre Constitution la liberté des femmes à recourir » à l’Interruption volontaire de grossesse (IVG) auprès Conseil d’État cette semaine. Il sera « présenté en Conseil des ministres d’ici la fin de l’année », si bien qu' »en 2024, la liberté des femmes de recourir à l’IVG sera irréversible », a ainsi écrit Emmanuel Macron sur X (anciennement Twitter).
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Non, la condition minoritaire des chrétiens n’est pas un avantage !
Les plus pauvres, matériellement, culturellement et spirituellement, sont les premières victimes de la déchristianisation.
On entend souvent des personnes se féliciter de la condition (nouvelle) minoritaire qui est celle des chrétiens aujourd’hui. Sur le constat, il n’y a rien à redire : les disciples du Christ sont en situation d’infériorité numérique avérée. Là-dessus, tout le monde est d’accord. En revanche, les avis divergent au sujet de la valeur à accorder à cet état de fait qui tranche avec les siècles précédents de chrétienté. Pour les uns, cette condition n’est pas négative. Elle incite les croyants à affiner leur foi, à se garder des pièges du conformisme et des facilités qui lui sont liées en galvanisant leur ferveur. La fin du christianisme sociologique permettrait selon eux l’émergence d’une foi plus personnelle et existentielle.
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Diaconat féminin, célibat des prêtres, contrôle des évêques… Les pistes du Synode sur l’avenir de l’Église
Place des femmes, nouveaux ministères, célibat des prêtres… Les membres du synode sur l’avenir de l’Église ont voté samedi 28 octobre un rapport de synthèse d’une quarantaine de pages qui doit guider l’Église catholique dans sa réforme jusqu’à la prochaine et dernière session du Synode, en octobre 2024.
Les membres du Synode sur l’avenir de l’Église ont voté dans la soirée du 28 octobre 2023, après un mois de travail, un rapport de synthèse qui doit guider l’Église catholique dans sa réforme jusqu’à la prochaine et dernière session du Synode en octobre 2024. Le texte d’une quarantaine de pages propose des pistes pour rendre l’Église catholique plus participative et avance des propositions concrètes sur des sujets parfois brûlants.
Lors d’une conférence de presse organisée peu après la diffusion du rapport en italien, le cardinal Jean-Claude Hollerich, rapporteur du Synode, a insisté sur le fait que la totalité des 273 paragraphes ont été votés à la majorité des deux tiers par les 344 membres du Synode présents dans la salle, dont des laïcs hommes et femmes.
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Euthanasie : la loi belge ignore que l’homme est « un tissu de relations »
Dans "Peut-on programmer la mort ?" (Seuil), le journaliste Pierre Jova publie les résultats de son enquête sur la pratique de l'euthanasie en Belgique. Alors qu'un projet de loi sera présenté en décembre 2023 en France, l'auteur révèle l’envers du "modèle belge", devenu en vingt ans un système de mort programmée.
« La mort n’est pas qu’une affaire individuelle, mais bien collective », telle est bien la conviction de Pierre Jova qui a vérifié combien le recours à l’euthanasie laisse des traces indélébiles dans les familles. Il montre aussi que l’expérience de la légalisation est une course sans fin : après les malades incurables, les mineurs, les déments, les cas sociaux… « Une société a besoin de multiplier et étendre l’euthanasie pour se persuader qu’elle est normale » observe-t-il, comme dans d’autres pays comme la Suisse ou le Canada. Au nom d’une liberté absolue et de la toute puissance de la technique, mais aussi de la logique marchande, c’est un monde insatiable et sans limite qui se prépare. Et pourtant, soutient Pierre Jova, on ne peut « étouffer éternellement la casse humaine créée par l’euthanasie ».
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Clôture du Synode : messe et émission spéciale sur KTO
La première session de l'Assemblée du Synode prend fin ce dimanche 29 octobre à Rome. À l'occasion de la conlusion de cette étape, KTO retransmet en direct la messe de clôture présidée par le pape François à 10h et vous propose une émission spéciale pour aborder les enjeux, le fonctionnement et les travaux réalisés au Vatican du 4 au 29 octobre. Une émission réalisée depuis le plateau de KTO à Rome et diffusée ce dimanche à 20h35 sur KTO et ktotv.com.
Lettre au peuple de Dieu
Les 364 membres du Synode ont voté, mercredi 25 octobre 2023, la publication d’une lettre à destination du « peuple de Dieu » dans laquelle ils expriment leur état d’esprit à quelques jours de la clôture de la première session de l'Assemblée Synode « pour une Église synodale ». La lettre de deux pages et demie ne comporte pas d’annonce concrète mais enjoint les chrétiens à « se mettre à l’écoute de celles et ceux qui n’ont pas droit à la parole dans la société ou qui se sentent exclus, même de la part de l’Église ».
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L’émouvante dévotion des vierges sylvicoles
Dans ses villages et forêts, la France abrite des centaines de petits oratoires et vierges perchés dans les arbres ou liés à un arbre. Mais d’où vient le phénomène des Vierges sylvicoles ?
Avec ses 18 mètres de hauteur et ses 15 mètres de circonférence, le chêne d’Allouville, situé en Normandie, est connu comme le plus vieux chêne de France. On raconte même qu’il aurait vu passer les troupes de Guillaume Le Conquérant en partance pour l’Angleterre ! Mais si plusieurs milliers de visiteurs se pressent sous ses branches chaque année, c’est aussi parce qu’il abrite en son sein deux petites chapelles, l’une perchée, l’autre basse. En 1696, l’abbé Jacques Delalande du Détroit, curé de la paroisse du village, glisse une image de la Vierge dans la fissure de l’arbre. Dans le contexte de guerre qui secoue le pays de Caux, il dédie le chêne à Notre-Dame-de-la Paix. Une première chapelle voit le jour, suivie d’une seconde. Aujourd’hui, l’arbre biscornu flanqué d’un escalier en colimaçon fait la fierté de la région.
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La Terre sainte se vide-t-elle de ses volontaires ?
Alors que le conflit en Terre sainte se poursuit entre Israël et le Hamas, sur place, les volontaires se trouvent bousculés dans leur mission au service des populations. Certaines associations françaises ont rapatrié la totalité de leurs effectifs. Celles qui ont eu l’autorisation de rester affectent leurs bénévoles à de nouvelles tâches, principalement à Jérusalem.
En Terre sainte, la nouvelle page du conflit israélo-palestinien qui s’écrit depuis le 7 octobre n’est pas sans affecter le sort des volontaires présents dans le pays. Depuis les attaques terroristes menées par le Hamas dans les kibboutz situés autour de la bande de Gaza, l’armée israélienne a engagé une vaste opération de représailles sur cette zone. L’escalade de la violence et le risque de propagation du conflit au-delà de cette enclave ont incité de nombreuses organisations et associations françaises à rapatrier ces derniers jours leurs bénévoles missionnés en Terre sainte.
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Journée de jeûne et de prière pour la Terre sainte : comment s’y associer dans votre diocèse
Le pape François a appelé à une deuxième journée de jeûne et de prière pour la Terre sainte vendredi 27 octobre. Tous les chrétiens, tous les croyants et tous ceux qui ont à cœur la cause de la paix dans le monde sont invités à participer. Voici comment s'associer à cet effort spirituel.
Les regards sont à nouveau tournés vers le Proche-Orient. À l’issue de l’audience générale place Saint-Pierre mercredi 18 octobre, le pape François a de nouveau imploré la paix en Terre sainte alors que le conflit armé se poursuit entre Gaza et Israël. « Aujourd’hui encore, chers frères et sœurs, nos pensées vont vers la Palestine et Israël. Le nombre de victimes augmente et la situation à Gaza est désespérée. Que tout ce qui est possible soit fait, s’il vous plaît, pour éviter une catastrophe humanitaire », a-t-il déclaré. « Faites taire les armes, écoutez le cri de paix des pauvres, des peuples, des enfants », a encore martelé le Pape avant d’annoncer une « Journée de jeûne, de prière, de pénitence » le vendredi 27 octobre.
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Elle laisse ses enfants se déguiser en saints, le résultat est bluffant
C'est bientôt la Toussaint, et à cette occasion, quoi de mieux pour parler aux enfants que de les familiariser avec la figure de leur saint patron ? C'est l'idée d'une mère de famille américaine, qui a publié le 10 octobre sur Instagram une vidéo de sa fille enfilant plusieurs déguisements de grands saints catholiques.
La Toussaint approche, et si elle est souvent moins populaire qu’Halloween auprès des enfants, il ne tient qu’à chacun de changer cela. Après tout, pourquoi laisser le privilège du déguisement aux sorcières, vampires, squelettes et autres figures effrayantes ? Les saints aussi ont le droit à des attributs bien particuliers. Exit balais et dents pointues, voici sainte Agnès et son mouton – en peluche bien-sûr, sauf pour les chanceux -, sainte Cécile et sa cithare, ou encore le bienheureux Carlo Acutis et son ordinateur, saint Dominique Savio et son crucifix…
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Père Matthieu Dauchez : « Ce sont les pauvres qui nous enseignent »
Son passage en France est concomitant à la sortie du film Sacerdoce où il apparaît, mais qu’il n’a pas encore vu. En conférence à Lyon le 19 octobre pour parler de la résilience à travers son expérience des enfants des rues aux Philippines, le père Matthieu Dauchez a répondu aux questions de Aleteia.
S’il vient en conférence à Bruxelles puis à Lyon pour ensuite quelques semaines de repos en famille, ce n’est pas pour récolter des fonds pour son œuvre, dit-il, mais bien pour ouvrir les cœurs de ceux qui viendront l’écouter. « Ce sont les pauvres qui nous enseignent », répète-t-il inlassablement. Cette certitude, il l’a acquise dans les quartiers les plus pauvres de Manille, où le père Matthieu Dauchez, depuis maintenant 25 ans, s’occupe des enfants des rues et des bidonvilles. Ordonné pour le diocèse de Versailles, le père Dauchez est aujourd’hui prêtre pour le diocèse de Manille, où il a créé l’association ANAK-Tnk, qui compte 29 centres d’accueil et 12 écoles et accueils de jour dans les bidonvilles, ce qui, depuis la création de l’association, a permis d’aider près de 60.000 enfants.
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Les mots très justes du cardinal Pizzaballa aux chrétiens de Terre sainte
Alors que le conflit entre Israël et le Hamas se poursuit dans les larmes et le sang, le cardinal Pizzaballa, patriarche latin de Jérusalem, a publié ce lundi 24 octobre une lettre à destination de tous les chrétiens de Terre sainte.
Les images des atrocités commises par le Hamas début octobre ainsi que celles des bombardements meurtriers perpétrés par Israël à Gaza sont glaçantes et douloureuses. La Terre sainte, celle qui vu naître le Sauveur du monde, est à nouveau devenue un lieu de mort et de désespérance. Parce que les chrétiens de Terre sainte sont aussi frappés de plein fouet par cette épreuve, le cardinal Pizzaballa, patriarche latin de Jérusalem, a publié le 24 octobre une lettre qui leur est adressée à tous. Pour mémoire, le Patriarcat latin de Jérusalem est une Église catholique particulière dont le territoire comprend Chypre, la Jordanie, Israël et la Palestine et comptait il y a une dizaine d’années quelque 161.000 fidèles, 65 paroisses et plus de 400 prêtres.
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« Il y a un leader à Jérusalem », Pizzaballa, un cardinal dans la guerre
En proposant de se substituer aux enfants israéliens otages du Hamas, le patriarche latin de Jérusalem Pierbattista Pizzaballa a marqué les consciences et pris une nouvelle dimension. Dans un climat de terreur et de haine, le tout nouveau cardinal s’efforce de porter la voie étroite d’une sortie de crise.
« Il y a un leader à Jérusalem ». Le commentaire posté en hébreu sur le réseau X (anciennement twitter) par un journaliste de l’influent quotidien national israélien Haaretz est éloquent. Sous son sobre commentaire se trouve l’article relatant la déclaration du cardinal Pierbattista Pizzaballa, le patriarche latin de Jérusalem, l’homme qui s’est proposé en échange des enfants israéliens retenus en otage par le Hamas dans la bande de Gaza.
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Éloge de l’incognito chrétien
L’apparente banalité de la vie cachée du Christ devrait décomplexer les baptisés ordinaires. Si imiter Jésus est d’abord une transformation intérieure, précise l’essayiste Jean Duchesne, la vie chrétienne "cachée" ne peut se contenter d’être "anonyme".
Une des énigmes insolubles que rencontre une foi un peu curieuse est la trentaine d’années entre la naissance du Christ à Bethléem et son baptême dans le Jourdain, marquant le début de sa « vie publique ». Deux seulement (Matthieu et Luc) des quatre évangélistes rapportent, chacun pour sa part, la Nativité, avec les épisodes qui précèdent (ascendance et songes de Joseph, Annonciation, Visitation et Jean le Précurseur) et qui s’ensuivent (rois mages, circoncision et présentation au Temple, massacre des innocents, fuite en Égypte, etc.). Seul Luc (2, 39-51) relate une péripétie sans lendemain, survenue aux deux cinquièmes de ce long entracte : Jésus échappant à ses parents pour discuter à 12 ans avec les docteurs de la Loi à Jérusalem, puis retournant à Nazareth en fils redevenu obéissant et tout à fait ordinaire.
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Instruction en famille : l’ONU épingle la France
Dans un rapport publié le 16 octobre 2023, le Comité des Droits économiques, sociaux et culturels de l’ONU a émis des craintes quant à l’accès, en France, à l'instruction en famille, fortement restreint par la loi du 24 août 2021 confortant le respect des principes de la République (loi contre les séparatismes).
Un soutien non négligeable pour les familles désireuses d’instruire leurs enfants à la maison. Dans un rapport publié le 16 octobre 2023, l’Organisation des Nations Unies (ONU) pointe du doigt les conséquences de la loi d’août 2021 sur la possibilité d’accéder à l’instruction en famille (IEF). Le Comité se dit « préoccupé » par « les informations sur les dispositions introduites par la loi n° 2021-1109 du 24 août 2021 confortant le respect des principes de la République qui limiteraient la possibilité de pouvoir accéder à l’instruction en famille ».
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Modification horaire des messes
La messe du samedi 28/10, prévue à Gigors, est annulée et remplacée par le dimanche 29/10 à la Freyssinie (communion d'Edouard Jouve) et à Sigoyer.
La question posée par Israël au reste du monde
Le conflit entre Israël et le Hamas n’est pas un conflit comme les autres, explique le père Benoist de Sinety, curé de la paroisse Saint-Eubert de Lille. Son origine est spirituelle, elle touche à la question posée par Israël au reste du monde.
Il y a des dizaines de conflits de par le vaste monde, des guerres qui, comme au Congo, détruisent depuis des années des millions de vies absolument innocentes. Certaines suscitent chez nous une émotion considérable, d’autres nous sont relativement indifférentes. Question de proximité ? du nombre de victimes ? de médiatisation ? d’effet de projection du type « ça pourrait être nous » ? peut-être un peu tout cela à la fois… Et puis il y a l’effroi qui nous saisit en regardant ce qui se passe en Israël et sur la bande de Gaza. Effroi devant les massacres ignobles et absolument inhumains perpétrés par les terroristes islamistes du Hamas. Effroi devant les armes qui hurlent et crachent la mort dans les rues de Gaza.
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Le nombre de catholiques augmente partout dans le monde, sauf en Europe
Le nombre de fidèles catholiques augmente sur tous les continents, sauf en Europe, indique un rapport de l'agence Fides publié le 20 octobre 2023. Le pourcentage de catholiques par rapport à la population mondiale a néanmoins légèrement diminué.
A l’occasion de la 97e Journée missionnaire mondiale, célébrée ce dimanche 22 octobre 2023, l’agence Fides a publié son traditionnel rapport sur le nombre de catholiques à travers le monde. Des chiffres basés sur le dernier annuaire de l’Église mis à jour le 31 décembre 2021.
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Les Ursulines de Valenciennes, guillotinées pour n’avoir pas renoncé à enseigner
Martyres pour n’avoir pas voulu renoncer à « enseigner la religion catholique et romaine », les religieuses Ursulines de Valenciennes pardonnèrent à leurs bourreaux. L’Église fête leur mémoire le 23 octobre.
Les historiens s’entendent pour considérer que la mort de Robespierre, le 28 juillet 1794, marque la fin de la « Grande Terreur ». L’affirmation est vraie mais, en certaines régions, les violences révolutionnaires continuèrent de se déchaîner contre les catholiques. Ainsi s’explique le martyre, en octobre 1794, de onze Ursulines de Valenciennes, auquel l’on tenta de donner une justification politique. Dans les départements du Nord, le tribunal révolutionnaire s’est montré impitoyable, la proximité des frontières et des armées autrichiennes fournissant un prétexte aux exécutions de supposés ennemis de la République. Thermidor semble avoir mis un coup d’arrêt à cette politique, certains juges de la veille se retrouvant à leur tour en prison et menacés de connaître le sort qu’ils ont infligé à tant d’innocents. Cet apparent apaisement, après de longs mois d’angoisse, incite à un optimisme prématuré.
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Pendant la semaine missionnaire, avez-vous joué votre rôle de chrétien?
Être missionnaire est un devoir pour tout chrétien. Alors que la semaine missionnaire, du 15 au 22 octobre 2023, se termine ce dimanche par une quête impérée, dans les diocèses du monde entier, revivez les temps forts de cette semaine tournée vers l'annonce de l’Évangile, "aux confins de la terre".
Le devoir de tout chrétien est d’être missionnaire et d’annoncer l’Évangile. C’est pour rappeler ce devoir que, chaque année, a lieu la semaine missionnaire dans le monde entier, notamment en France depuis une trentaine d’année. Semaine qui se ponctue par le dimanche de la mission, le troisième dimanche d’octobre, où dans toutes les églises du monde, a lieu la quête impérée au profit des Oeuvres Pontificales Missionnaires (OPM). Cette quête est essentielle pour poursuivre la mission puisqu’elle permet aux OPM d’être présentes dans 140 pays et de soutenir pas moins de 5.000 projets par an répartis dans 1.100 diocèses dont notamment la formation de 80.000 séminaristes.
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Douze conseils du pape François pour devenir un as de l’évangélisation
Découvrez douze conseils que le pape François a livrés lors de sa catéchèse sur « La passion pour l’évangélisation : le zèle apostolique du croyant » pour encourager chaque chrétien à témoigner du Christ.
Depuis le mois de janvier 2023, le pape François a consacré ses audiences générales à un cycle de catéchèses sur l’évangélisation. Au fil de ce parcours, il a livré de nombreux conseils pour évangéliser, en rappelant que l’Église, et donc chaque baptisé, est appelée à poursuivre la mission du Christ et à annoncer la Bonne Nouvelle au monde.
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Les cinq vitamines indispensables pour être un bon missionnaire
Un bon missionnaire est un missionnaire en bonne santé. Voici les cinq essentiels à vivre de manière progressive et coordonnée pour être un vrai apôtre du Christ.
« Tout chrétien est appelé à être un missionnaire et un témoin du Christ », a déclaré le pape François dans son message pour la Journée missionnaire mondiale le 23 octobre 2022. « Et l’Église, communauté des disciples du Christ, n’a d’autre mission que celle d’évangéliser le monde en témoignant du Christ. L’identité de l’Église est d’évangéliser. » En effet, Jésus dit :
« C’est moi qui vous ai choisis et établis, afin que vous alliez, que vous portiez du fruit, et que votre fruit demeure »(Jn 15, 16).
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Le chrétien n’a pas une mission, il « est » une mission
Devenu l’incontournable du week-end où nous fêtons la petite Thérèse de Lisieux, la "grande" sainte patronne de la mission, le congrès "Mission" s’est déroulé dans une dizaine de grandes villes de France. Invitée à animer plusieurs tables rondes au congrès Mission de Marseille lors de la venue du Pape puis à Lyon le 1er octobre, notre chroniqueuse Blanche Streb revient sur les mille visages de la mission qu’elle y a entrevus.
Deux guides aînées, foulard rose au cou, sourires aux lèvres, m’accueillent sur le parvis. Un peu plus loin, des bénévoles aux gilets oranges flanqués d’un salutaire « Jésus sauve » portent des cartons, font la sécurité, machinent on-ne-sait-quoi, servent joyeusement des cafés, accueillent intervenants et invités, auteurs et artistes, responsables d’associations et journalistes, experts et professeurs, religieux et consacrés, tous ceux qui viennent expliquer, enseigner, témoigner, donner des ateliers, transmettre, animer des temps de louanges ou des veillées. Ici, pour que ça roule, à chacun sa mission.
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En Autriche, Pauline Jaricot fait salle comble !
En Autriche, depuis six mois, une comédie musicale sur la vie de Pauline Jaricot fait salle comble chaque week-end à Vienne. Jouée par une troupe d’une cinquantaine de bénévoles, dont des enfants, la comédie est à présent en tournée dans tout le pays.
Si depuis sa béatification à Lyon, en mai 2022, le nom de Pauline Jaricot est enfin familier aux Français, cela fait déjà plusieurs décennies qu’elle est connue et priée partout dans le monde. C’est le cas notamment en Autriche où une troupe de bénévoles a décidé de monter Pauline, une comédie musicale sur sa vie. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le public est au rendez-vous avec déjà plus de 30.000 spectateurs qui ont vu le spectacle.
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Comment surmonter l’épreuve de l’absence ?
Comment surmonter la douleur de l’absence de l’être aimé ? En communiant avec lui dans la mémoire des jours heureux, suggère le père jésuite Jean-François Thomas, et en demeurant ouvert à la détresse d’autrui.
Chaque existence humaine est parsemée d’épreuves qui flétrissent souvent les quelques joies profondes vécues par ailleurs. La pire de ces blessures est l’arrachement causé par la mort des êtres aimés. La foi ne change rien à la tragédie car l’absence creuse son sillon jusqu’au cœur qui saigne. La tentation, certes très compréhensible, est alors de s’enfermer dans sa coquille et d’entretenir le deuil jusqu’à une possible folie ou jusqu’au désespoir qui conduit au suicide. Ces issues sont certes très prisées par les romantiques, mais l’homme n’a pas été créé pour se réfugier dans la désespérance. De plus, se laisser emporter sur cette pente conduit souvent à ne plus s’intéresser qu’à sa propre douleur en oubliant celle des autres, car tel est le sort commun.
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